• Un dimanche sur la place de Salamanque.

    (Une partie de la Plaza  Mayor, considérée comme étant probablement la plus belle place d'Espagne)

     

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    Vous m’avez beaucoup manqué !
     
    (C’est aussi ce que disait l’ancien combattant lorsqu’il rencontra le vieil adversaire… En effet, s’il ne l’avait pas manqué ils ne se seraient pas revus !)
     
    Voici quelques pistes… en 6 photos…
     
    Maintenant il faut tout ranger et le plus difficile à remettre en place ce sont les idées. Surtout que pendant mon absence il s’en est passé des choses… Vous me raconterez ?
     
    La route était libre :
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    On rencontre sa destinée

    Souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter.

     

    L’horoscope (Jean De La Fontaine)

     

    Pour des raisons diverses et variées… Est-ce dû à la chaleur inhabituelle de ce début mai ? A l’actualité nationale ? Au mariage princier célébré dernièrement ? A la flexibilité de la queue de la vache ?

    Le fait est que le blog sera inactif jusqu’à la fin du mois.

    A bientôt.

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    Citation :

     La fête des pères, c'est un peu comme la fête des mères, sauf que le cadeau est moins cher. 

    (Gerald F. Lieberman)

     

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  • 2011.05.13

     

    Salut Baptiste ! Que fais-tu ?Personnes-32203.jpg

    -      Cogito ergo sum.

    -      Oui, bon… t’as pas autre chose ?

    -      Je modifie quelques proverbes.

    -      Peux-tu m’en montrer quelques-uns ?

    -      Bien sûr… les autres un peu plus tard.

     

    Pierre qui roule amasse le RSA.

     

    A chaque jour suffit sa paye.

     

    Charité bien ordonnée ruine le donneur.

     

    Chat échaudé sent le brûlé.

     

    Chose promise, chose en stock.

     

    Rira bien qui a un beau dentier.

     

    Noël au balcon refroidit les lampions.

     

    Des goûts et des couleurs pour notre bonheur.

     

    Dans le doute va tout droit.  

     

    Cœur qui soupire n’a pas vu le pire !

     

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    Comme cela s’était déjà produit fin décembre 2010 - pendant une semaine en ce qui me concerne - le système de messages d’alertes édités lors de la publication d’articles sur des blogs auxquels je suis abonné, ou lors de la rédaction d’un commentaire (ou encore en cas de réponse à un commentaire) ne fonctionne pas.

    La dernière fois orange, qui ne trouvait pas la panne et estimait que l’anomalie provenait de mon matériel, était allé jusqu’à me proposer de venir sur place moyennant le paiement de 120 € pour le déplacement du technicien. Nous avions « négocié » un abattement et convenu que je n’aurais à payer que dans le cas de la réussite du dépannage.

    En pratique le rendez-vous a été annulé puisque tout est rentré dans l’ordre pendant le week-end qui précédait le lundi prévu pour le dépannage.

    Cette anomalie se renouvelle depuis ce matin, en conséquence je ne suis pas prévenu de vos publications, ni des coms que vous me postez… Comme on dit dans le commerce : Merci de votre compréhension !

     

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  • Une belle chanson...
     
     
         
     
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  • Styles-de-vie-et-Cultures-11293.jpg

    2011.05.11

     

    Salut Baptiste ! As-t-u remarqué ces temps-ci, ces émissions télévisées qui retracent des évènements anciens…

    -      Oui, c’est intéressant quelquefois on se remémore une tranche de vie, un moment bien agréable, ou au contraire… que l’on avait préféré oublier…

    -      Et on voit des gens que l’on connaissait peu ou prou…

    -      C’est incroyable ce qu’ils ont changé… les gens… en vingt ou trente ans… Certains ont TERRIBLEMENT changé… Finalement, il n’y a que moi qui ne change pas !

    -      Tu es sûr.

    -      Bath oui… Je me regarde chaque matin en me rasant et je vois bien que je ne change pas !

     

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  • Chambre et à la Maison 5227

    Allo pépé… Où es-tu ? Oui je sais… Quelque part dans le ciel… Mais ce n’est pas facile, heureusement il y a le téléphone.

    Tu veux savoir pourquoi je t’appelle. En fait je t’appelle pour rien ! C’est pour épuiser le forfait. Oui, je comprends que tu ne comprennes pas, toi tu téléphonais quand tu avais quelque chose à dire et tu payais le montant correspondant à la dépense. C’est que depuis ce temps là… il y a eu quelque chose de fantastique qui s’est passé : le progrès !

    Maintenant on ne sait pas ce que l’on aura à dire mais on sait ce que l’on doit payer. Ensuite, puisque c’est payé, on parle pour ne rien dire afin de parvenir à dépenser ce que l’on a réellement payé. C’est simple ?

    Non… Tu as raison… C’est idiot ! Oui, c’est bien possible… Mais il parait que c’est bon pour les opérateurs… alors tout le monde est content !

     

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  • La supplique du vieux jardinier (Jacques Maurice Sutherland)

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    Combien me reste-t-il de printemps à semer

    Quand le soleil levant dissipe la grisaille?

    Perce-neige et crocus, plantés dans la rocaille,

    Seront les tout premiers pour venir nous charmer

    L'odorant seringa, le muguet, la jonquille,

    Les arbres du verger, tout habillés de blanc,

    Ecoutent, stupéfaits, la grive qui babille

    Et les éclats de voix d'un merle conquérant.

     

    Combien me reste-t-il d’étés à contempler

    Quand la lune est propice au lever des semailles?

    Les prés sont tout remplis de champêtres sonnailles.

    Les taillis, les buissons de nids vont se peupler.

    Le moineau pillera la fraise et la framboise.

    Le discret chèvrefeuille embaume les matins,

    La frêle campanule a des airs de bourgeoise,

    Le rosier souverain exhale ses parfums.

     

    Combien me reste-t-il d’automnes à subir

    Quand septembre apparaît nous tenant ses promesses?

    Les jardins, les vergers dispensent leurs richesses

    Et l’ouest orageux nous frappe sans faiblir.

    L’aronde se rassemble et la maison frissonne,

    Notre parterre accueille un dernier papillon;

    Quand tout devient muet, la nature s’étonne

    Et le merle craintif se cache en son buisson.

     

    Combien me reste-t-il d’hivers à redouter

    Quand l’aquilon fougueux nous couvre de nuages?

    Les oiseaux migrateurs quittent leurs pâturages,

    Les bois tout effeuillés semblent se lamenter;

    Les champs sont dépeuplés, la nature déserte,

    Tout n’est plus que silence engourdi de frimas,

    Plus un cri, plus un chant, toute chose est inerte,

    Seul, le vent mugissant sévit avec fracas.

     

    Puissent d’autres saisons m’accorder un répit,

    J’aime où je vis heureux, j’admire la nature,

    J’écoute les oiseaux, j’aime ce qui fleurit,

    Mais, quand le temps viendra de l’ultime écorchure,

    Fasse que le soleil qui toujours me sourit

    Se penchera vers moi pour panser ma blessure.

     

    (Photo Flickr)

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    Lisez-vous-le vrac ?

     

    Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas les mtos n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot.

     

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