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    lisb.1
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Naturellement, ce n’est pas de la Tour de Bélem que résonnaient les cloches de Lisbonne évoquées dans la chanson.

    La Tour avait une autre fonction que l’on peut lire ICI !

     

    Cependant, même si la ressemblance est frappante, la photo n’a pas été copiée sur le Net. Je l’ai prise sur place en ce mois de mai.

     
     
     
     
     
     
     
    Les cloches de Lisbonne                            
     Au matin, quand c'est dimanche
     Se souviennent encore
     En voyant les voiles blanches
     Qu'elles sonnaient autrefois
     Quand un marin du Roi
     Quittait la rade immense
     Et que, les larmes aux yeux,
    Il entendait l'adieu
     Des cloches de Lisbonne
     
    Les barques dans le port
     Font des rêves de caravelles
     Un jeune matelot
     Les yeux clos
     Sourit aux anges
     Il voit le drapeau d'or
     Des vieux conquistadors
     Le frôler de son aile
     La grande voile frissonne
     Et c'est pour lui que sonnent
     Les cloches de Lisbonne
     
    Les pigeons bleus des églises
     Nichés au creux des clochers
     Soudain se sont réveillés
     Et vont tournoyer
     Dans les pierres grises
     Sous le ciel clair et tranquille
     D'un beau printemps portugais
     La chanson des campaniles
     Montant sur la ville
     Fait comme un bouquet
     
    Les cloches de Lisbonne
     Au matin, quand c'est dimanche
     Se souviennent encore
     En voyant les voiles blanches
     Qu'elles sonnaient autrefois
     Quand un marin du Roi
     Rapportait dans ses cales
     Des horizons nouveaux
     Salués par l'écho
     Des cloches de Lisbonne
     Le jeune matelot,
    Les yeux clos,
    Sourit encore
     Il voit le Roi, la Cour,
    Les velours
     Multicolores
     Une infante aux yeux noirs
     Lui paye d'un regard
     Les mondes qu'il apporte
     Sa tête tourbillonne
     Et c'est pour lui que sonnent
     Les cloches de Lisbonne !
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    Salut Baptiste ! As-tu vu ce qui s’est passé pendant ton absence ?
    -      On l’a dit hier.
    -      Mais encore autre chose, on a vendu un village.
    -      Tu plaisantes ?
    -      Pas du tout - enfin certains journaux disent un village d'autres se contentent d'un hameau -  pour 520 000 €.
    -      Eh bien ! Il s’en passe de belles quand je ne suis plus là !
     
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    Salut Baptiste ! Que fais-tu ?

    -      Rien.

    -      C’est ce que je constate en effet.

    -      A peine m’absentais-je quelques jours et voilà que tout change… Un Président parti… Un autre arrivé…

    -      Oui…oui…

    -      Je reçois plein de courriels de gens déçus… et d’autres de gens heureux… C’est incroyable… Non ?

    -      Oui… oui… Comme dimanche au stade il y avait ceux qui soutenaient le Stade Montois et ceux qui supportaient la Section Paloise, ils sont tous gentils et tous pensent que leur équipe est la meilleure et pourtant il n’y en a qu’une qui a gagné.

    -      Oui… et en politique c’est pareil. J’ai des amis qui sont d’un côté, des amis qui sont de l’autre… ils sont tous sympas et tous pensent que c’est leur champion le meilleur. Le meilleur c’est celui qui gagne… Sinon il n’aurait pas gagné !

    Pendant mon absence j’ai lu un livre (c’est exceptionnel je sais… Je ne trouve plus le temps de lire avec ce foutu clavier !), comme je suis fainéant, j’ai choisi un livre qui se lit facilement et comme je ne veux pas me compliquer l’esprit, j’ai choisi un livre dont on connait la fin.

    -      Ca ne te fait pas de bien de décrocher toi dis-donc !
    -      Mais si… mais si… c’est un livre du passé qui garde encore toute sa saveur car il est rédigé avec intelligence, effronterie, audace, précision, en s’appuyant sur des faits… Il se lit très facilement et bien sûr celui qui était visé n’en a pas tenu compte puisqu’il s’agit d’une lettre ouverte écrite par Denis Jeambar à Nicolas Sarkozy sous le titre : « Ne vous représentez pas ! ». Il comprend 15 chapitres qui traitent de thèmes différents et qui commencent tous par : « Monsieur le Président, être ou ne pas être candidat » et qui, après le développement de l’auteur, finissent tous par « Monsieur le Président, ne vous représentez pas ». Le mérite de l’auteur réside dans le calendrier, - le livre a été publié à l'été 2011 -  il a en effet pris un risque en pariant sur l’échec. Mais je le répète, ce livre garde encore de l’intérêt, sa lecture donne un éclairage ignoré du public sur de nombreux points et sur la personnalité du personnage.
     
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    Extrait de la quatrième de couverture :
     
    « Etre ou ne pas être de nouveau candidat ? Choix shakespearien qui, je n’en doute pas, hante vos réflexions depuis de longs mois.
    La France de 2012 n’a plus rien à voir avec celle que vous compreniez si bien en 2007. Elle a changé de logiciel. Pas vous. Pour la séduire, vous risquez de vous perdre. Si vous êtes battu, vous souffrirez beaucoup. Si vous l’emportez, votre bonheur sera de très courte durée. »
     
    260 pages – Editions Flammarion – 15 € .
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    "Et si on décidait d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple"
    (Jacques Prevert)
       
     
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  • Une merveille de sensibilité
    Le metteur en scène anglais Sir Ridley Scott avait lancé un Concours mondial
    de Film intitulé : Dites-le à votre manière ! - concours organisé à l'intention
    de ceux qui désiraient devenir metteur en scène et auquel plus de 600
    cinéastes ont participé.
       Les conditions de participation étaient les suivantes ...   La longueur
    du film présenté ne devait pas dépasser 3 minutes,   le texte ne devait pas
    avoir plus de 6 lignes,  le sujet abordé devait être captivant !
      Le metteur en scène Keegan Wilcox a été le grand gagnant avec son film
    intitulé   PORCELAIN UNICORN ( La Licorne de porcelaine ) dont le
    sujet était ...   Une histoire vécue par deux personnes que tout oppose et
    qui pourtant restent très proches lune de lautre !
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    Je suis fan de ML et je regrette de ne plus l'entendre...
    En plus elle était sibelle.
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