• Nous rêvons d'union nationale...

    Dès qu'il s'agit de leurs revenus, les députés y parviennent aisément. Pour arrondir leurs fins de mois, que ce soit au palais Bourbon, (au palais du Luxembourg pour les sénateurs et leurs primes de nuit entre autres...) ou au parlement Européen, de la Gauche à la Droite et inversement, tout le monde s'entend pour préserver ce qui est acquis et obtenir plus si possible !

    Serrez vos ceintures, nos élus ont tellement mérité !

    http://www.politique.net/2012061901-depute-proprietaire-permanences.htm

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  • Salut Baptiste ! Comment peut-on régler ce qui ne va pas bien ?

    • Nos dirigeants politiques élus sont d’une haute compétence. Si tu écoutes les débats tu verras qu’il n’y a aucun souci à se faire.
    • ???
    • J’ai entendu ce matin : il faut activer le P.N.R au niveau européen (autre lien PNR) il faut augmenter les places de prison, il faut que les personnes à risque soient mieux surveillées par des agents formés pour cela, il faut augmenter le nombre de policiers, il faut augmenter les personnels chargés du renseignement, il faut mieux équiper les policiers et les gendarmes (dont le gilet pare-balles appartient au premier qui met la main dessus), il faut soutenir nos enseignants, il faut supprimer la carte scolaire, il faut augmenter le nombre des aumôniers dans les prisons, il faut former les imams en France, il faut accompagner les jeunes qui se sont laissés embrigader, il faut arrêter de diminuer les effectifs de l’armée…
    • C’est quand qu’on fait tout ça ?
    • Peut-être jamais, car il n’y a pas d’argent… A moins que le Qatar ou la Chine finance ?

    Mais il faut bien avouer que nos politiques ont des idées.

    • Effectivement… Comme disait notre grand humoriste : ils ont des idées sur tout, mais ils ont surtout des idées.
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  • Chronique d'abonnés

    Qu'un sang impur abreuve nos sillons

    par Nicolas de Peretti

    11.03.12

     

    En ces temps politiques où les débats prennent une hauteur rarement atteinte, il est parfois utile de prendre un léger recul. Si on peut faire un reproche à tous les candidats, c'est bien celui de ne pas expliquer ce que représente la France comme symbole dans le monde.

    Ce pays est loin de tout reproche, il a une histoire tourmentée et violente, il fut grand. L'hymne français reste une valeur refuge pour tous les révolutionnaires du monde. Pourtant dans son propre pays, il fait l'objet de débats malsains.

    En effet, notre époque qui a la chance d'avoir un accès quasi illimité à la connaissance est peuplée de gens refusant désormais de réfléchir. Nous préférons avoir une information continue à la pensée. Notre époque est surtout marquée par une défiance vis-à-vis de l'histoire.

    L'exemple que nous prendrons est le lien entre tous les citoyens de ce pays. Un vieux chant guerrier datant de 1792 écrit pour l'Armée du Rhin. Cette armée se devait de tenir le front est face à la coalition conservatrice de l'époque plus communément appelée royaliste.

    Son rythme est entrainant, la mélodie est facile à retenir. Dans l'un de ses couplets, une expression a scandalisé plus d'un esprit mal forgé :"qu'un sang impur abreuve nos sillons"

    La traduction qui en est faite depuis la fin du XXe siècle serait risible si elle ne s'était pas autant généralisée. Rappelons dans un premier temps qu'en histoire il n'y a que deux crimes : l'anachronisme et jouer à l'"histoire-fiction". En l’occurrence, nos contemporains considèrent que cette phrase est proche de l'idéologie nazie. On considère le sang impur comme celui de l'étranger, les sillons devenant les tranchées des batailles.

    Il est triste de devoir faire un rappel historique basique. Avant la Révolution, la société est divisée selon l'origine familiale. Vous êtes nobles, car vous avez du sang noble, votre supériorité vis-à-vis du reste du peuple ne vient que de là. Un noble est supérieur à un paysan par son sang. Quand les soldats français s'époumonaient "qu'un sang impur abreuve nos sillons", ils ne parlaient pas des étrangers.

    Le sang impur ce n'était que le leur, les sillons n'étaient par ailleurs que des sillons, n'oublions pas que la France d'alors est agricole. Il s'agit d'une phrase symbolisant le sacrifice, les républicains d'alors étaient fiers de verser leur sale sang sur le champ d'honneur. Ils ne considéraient qu'une chose, mieux vaut tapisser tout le territoire national de sang plutôt que de se rendre.

    S'indigner de cette phrase est grave. Quitte à nous bombarder d'identité nationale et d'autres expressions grandiloquentes qu'on commence d'abord à enseigner la Marseillaise aux écoliers. Mais enseigner ne veut pas dire apprendre par cœur un chant, enseigner veut dire faire comprendre ce chant, ce qu'il représente.

    La chose la plus cocasse dans ce petit billet est que son auteur qui a l'air si franchouillard dans ses propos est un autonomiste corse. Aimer sa petite île ne veut pas dire qu'on a la haine pour la France. L'amour est un sentiment qui n'a pas besoin d'avoir une opposition pour exister, c'est pour cela qu'il est si fort.

     

    http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2012/03/11/qu-un-sang-impur-abreuve-nos-sillons_1656090_3232.html

     

    Marseillaise. Un rappel bien utile pour quelques incultes que l'on voit à la télévision.

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  • Ceux qui l'aiment seront ravis, ceux qui ne le connaissent pas seront étonnés et ceux qui le détestent ont intérêt à écouter jusqu'à la fin, ils pourraient apprendre des choses. Les autres font ce qu'ils veulent !

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    Publié le 26/05/2013 à 06h00 | Mise à jour : 26/05/2013 à 16h10
    Par Yann Saint-Sernin

    Enquête : les 50 000 ruinés de la défiscalisation immobilière

    Dans un livre au vitriol, le journaliste, Erwan Seznec, retrace l’épopée tragique des lois de Robien et Scellier qu’il qualifie de « plus gros scandale immobilier de l’après-guerre ».

    En 2011, à Thionville (Moselle), des résidences en construction permettant de bénéficier du dispositif Scellier.

    En 2011, à Thionville (Moselle), des résidences en construction permettant de bénéficier du dispositif Scellier. (photo archives laurent theiller)

    De Robien, Scellier, Malraux, Girardin : c’était sans risque, disait-on. Aujourd’hui, ils sont près de 50 000 Français à avoir perdu en moyenne 40 000 euros après avoir tenté l’aventure de la défiscalisation immobilière. Soit l’un des « plus gros scandales immobilier de l’après-guerre » selon une enquête menée par Erwan Seznec, journaliste à « Que choisir ».

    Ces lois de défiscalisation, auxquelles la postérité a accolé le nom de leurs auteurs, répondaient toutes peu ou prou à la même demande. Résorber la crise du logement en France. Et la solution proposée est généralement calquée sur le même modèle : les pouvoirs publics vont proposer une véritable « cocaïne fiscale », selon l’expression de l’auteur du livre pour encourager à construire vite et massivement. En clair : investissez dans la pierre et vous déduirez une partie de l’investissement de vos impôts, pour peu que vous mettiez quelques années le logement en location. Ce sont les fameuses lois Scellier-Robien lancées au milieu des années 2000. À l’inverse des précédentes (comme le Malraux pour la rénovation des bâtiments historiques), elles étaient destinées aux classes moyennes.

    Sept logements sur dix

    Les effets seront spectaculaires. Selon Erwan Seznec, près de sept logements sur dix construits ces dernières années le seront sous l’égide d’une loi de défiscalisation immobilière, principalement Scellier-Robien. Mais pour beaucoup d’investisseurs, peu aguerris à ce type de montage, l’opération va tourner à la déconfiture. Car tout était basé sur le postulat que l’appartement acheté à un promoteur serait mis en location rapidement. Les loyers devaient rembourser une partie de l’emprunt nécessaire, la défiscalisation ferait le reste. Faute de locataire, l’investisseur (qui ne dispose généralement pas de matelas financier) doit sortir de sa poche des sommes sans commune mesure avec celles annoncées au départ.

    Mansuétude de la justice

    Ce cas de figure ne sera pas anecdotique. Il deviendra presque la marque de fabrique du Robien-Scellier. Parmi les investisseurs, une majorité de gens instruits. Des gendarmes, des enseignants, des cadres moyens, espérant souvent se constituer un pécule pour payer les études de leurs enfants. Rien à voir avec de l’évasion fiscale à grande échelle. « Comment ai-je pu être aussi stupide », se demandent aujourd’hui des dizaines de milliers de foyers, relate l’auteur de l’enquête. Une question que se posent également les magistrats au moment de juger certaines sociétés ayant fait de ces montages leur fonds de commerce. Ce qui explique, selon Erwan Seznec, une relative mansuétude de la justice vis-à-vis de certains commerciaux peu scrupuleux.

    Car dans bien des cas, l’opération miracle, tourne au cauchemar. Exemple type : « Une résidence vide, farcie de malfaçons, dans un hameau en périphérie d’Angoulême où l’ont avait prévu des loyers indexés sur ceux du centre-ville de Bordeaux », raconte Erwan Seznec. Ou encore une résidence vendue « grand standing au pied des pistes » mais qui se trouve en fait dans une ZUP à une heure de la première station de moyenne montagne ! La plupart des logements ont été achetés sur plan. Les investisseurs résident à des centaines de kilomètres et n’ont jamais vu leur bien. Jusqu’au jour où ils constatent que les loyers n’arrivent pas.

    Des sociétés aux techniques de vente bien rodées, tels Appolonia ou Omnium, se sont fait une spécialité de ces opérations. Pour l’heure, selon Erwan Seznec, aucun des gros « défiscalisateur » de la place n’a été condamné pénalement. Il faut dire qu’ils ne sont pas les seuls responsables de ces tragédies. Selon l’enquêteur, ces lois pâtissent dès le départ de nombreux écueils. D’abord, la crise du logement n’est pas une réalité partout en France. « Dans beaucoup de zones classées en Robien-Scellier, il n’y avait aucune tension dans l’offre locative. » Ensuite, les plafonds des loyers ont été la plupart du temps surévalués, notamment par des découpages de zones éligibles à ces constructions beaucoup trop grossiers. Conséquence : certains promoteurs achètent des terrains à bas prix, dans des endroits souvent peu attractifs, mais indexent les loyers sur des prix sans rapport avec le lieu de la construction. Légal. Mais catastrophique !

    L’art de se ruiner deux fois

    Et le piège ne s’arrête pas là. Encouragées par l’État, les opérations de défiscalisations attirent bientôt les banques. À la mauvaise opération immobilière va se greffer le scandale des emprunts toxiques. Ainsi, pour payer du Scellier, des milliers de petits investisseurs peu aguerris ont contracté des emprunts indexés sur le franc suisse dont l’évolution des taux n’a pas tardé à se retourner contre les emprunteurs. Ou l’art de se ruiner deux fois.

    L’État n’aurait-il pas pu mettre le holà ? Sauf à imaginer qu’il y ait derrière ces lois une opération de corruption. Erwan Seznec, joint par « Sud Ouest » ne croit pas à cette hypothèse. « Il y a d’abord beaucoup d’incompétence et ensuite beaucoup de pression. L’État a eu peur de provoquer une crise du bâtiment en arrêtant tout, sans parler des élus locaux qui faisaient le siège des cabinets pour que leur commune soit bien classée en Robien. Beaucoup voulaient pouvoir faire de la défiscalisation sur leur circonscription, espérant doper l’économie. Alors, on a découpé les zones éligibles à ces montages de manière bien trop larges. Et les leçons n’ont pas été retenues. On est en train de refaire les mêmes erreurs de découpage avec le Duflot », estime l’auteur de l’enquête.

    Erwan Seznec, « Robien, Scellier… ruinés ! Le plus grand scandale immobilier de l’après-guerre », aux Éditions du Seuil.

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  • Propositions.

     

     

    Les cahiers de doléances que propose le député marcheur Jean Lassalle :

    http://www.ledeputequimarche.fr/blog/cahiers-de-doleances/

     

     

    ***********************************************

    Autre sujet : "Ce soir ou jamais"

    http://pluzz.francetv.fr/videos/ce_soir_ou_jamais.html

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  •  Bien sûr, ce sujet traite de l’irréel, de l’impalpable, de l’invisible… et naturellement nous avons du mal à embrasser la totalité du discours sans laisser percevoir un certain scepticisme. Il suffit de voir les réactions de l’animateur et de ses collaborateurs, ou invités, pour s’en convaincre.

    Pourtant, j’essaie d’imaginer ce qu’aurait répondu mon grand-père (vers le milieu du siècle dernier – il y a à peine une soixantaine d’années -) si je lui avais prédit qu’avec un petit objet qui s’appellerait iPhone je pourrais, dans quelques années, parler à l’autre bout du monde, prendre des photos et les expédier instantanément si nécessaire, consulter une banque de données intarissable, voir des émissions sur ce minuscule écran, me diriger dans une ville inconnue (grâce à des satellites que des fusées placeraient en orbite et qui me repèreraient au sol)… Il m’aurait pris pour un fou bien avant que j’en arrive à la fin de mon énumération !

    Alors ? Alors je l'écoute et je médite et je lirai peut-être son livre. Car qui aurait cru qu'on parlerait sans fil, et alors pourquoi pas sans téléphone ?

      VIDÉO. Patricia Darré, dialogue avec l'au-delà  
     Le Point.fr - Publié le  28/04/2013 à 12:24 - Modifié le  28/04/2013 à 17:36

     Grâce à ses talents médiumniques, cette femme dialogue avec les morts. Elle était l'invitée de Laurent Ruquier. Nathalie Rheims a regardé.

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     Quelqu'un à qui parler.

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    Copie de l'article du Point

    Par Nathalie Rheims

    "Hier soir, On n'est pas couché recevait sur France 2 Patricia Darré, animatrice de Radio Bleue. En 1995, il lui est arrivé une chose étrange, elle a entendu des voix qui lui ouvraient les portes d'autres dimensions que celles dans lesquelles nous avons conscience d'exister. Sur le moment, Patricia Darré fut persuadée qu'elle faisait une dépression consécutive à la naissance de son premier enfant, qu'elle était devenue folle. Elle alla consulter un psy pour lui expliquer ce qui lui arrivait. Le médecin ne trouva rien d'anormal chez elle et lui dit qu'il n'y avait pas d'explication scientifique à ce curieux phénomène. Depuis, sans jamais en faire sa profession, en veillant à ne pas en tirer la moindre rémunération, cette femme dialogue tout naturellement avec les disparus.

    La communication avec l'au-delà est un sujet ancestral qui hante les écrivains, les cinéastes, les peintres. Toutes les formes d'art se confrontent un jour à ce mystère. Peut-être même en fait-elle partie. Parfois, en lisant des textes d'Homère, de Montaigne ou de Proust, on a l'impression de pouvoir les entendre, que leur voix est si puissante qu'elle parvient à traverser le temps pour venir jusqu'à nous. Mais l'autre question que pose l'expérience que vit Patricia Darré est plus intime. Est-il possible de dialoguer avec les êtres disparus que l'on a aimés ? C'est évidemment un sujet qui passionne et traverse bon nombre de romans, de films et d'oeuvres d'art. On peut se demander si la création n'est pas, en partie, une tension pour établir cette communication qui vient si directement aux médiums et que les artistes doivent retrouver par d'autres moyens détournés.

    Certains défunts ne parviennent pas à admettre qu'ils sont morts

    Patricia Darré nous explique, à partir de son expérience extraordinaire, des choses très simples. Par exemple, que certains défunts ne parviennent pas à admettre l'idée qu'ils sont morts. À leurs propres obsèques, ils pensent que celui qui est dans le cercueil, ce n'est pas eux, mais un autre. Ils se retrouvent bloqués dans une situation complexe que la médium apprend à analyser, qui pose de graves problèmes à leurs proches. Parfois, un simple message reçu par Patricia Darré permet de dénouer cette souffrance, changeant complètement la vie de celui qui reste et autorisant le défunt à poursuivre sa route.

    Découverte par l'éditeur Michel Lafon, connu pour son flair et son sens du public, Patricia Darré a sauté le pas. Selon les voix qu'elle a entendues, elle ne doit gagner ni rémunération ni notoriété grâce à l'utilisation de cette capacité paranormale. Elle a donc pris le risque qu'elles se taisent en racontant son expérience dans un premier livre, puis dans un second, qui vient de sortir : Les lumières de l'invisible, avec une préface d'Alexandre Adler dont le sérieux témoigne de l'authenticité de l'expérience vécue par cette femme lumineuse que l'on sent sincère. Pour ceux que ça intéresse, on peut suivre en replay ses trois entretiens avec Yann Erick sur Dailymotion. Je ne suis pas médium, mais je peux lui prédire, comme pour son premier livre, un grand succès de librairie."

    liens :

    http://www.lepoint.fr/invites-du-point/nathalie-rheims/patricia-darre-dialogue-avec-l-au-dela-28-04-2013-1660912_1452.php

    http://bcove.me/9bxp44ey

     

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  • "Le monde est assez grand pour satisfaire les besoins de tous, mais il sera toujours trop petit pour satisfaire l’avidité de quelques-uns". (Gandhi)

     On parle ces jours-ci de l’obsolescence programmée.

    C’est-à-dire de la programmation, au moment où on le fabrique l'objet, du moment approximatif où quel qu’il soit, il devrait tomber en panne (en principe, juste après l'échéance de la garantie) de telle sorte que vous soyez contraint de le remplacer.

    Un résumé de deux minutes

    http://youtu.be/2FJq9hFvmrk

    Une émission sur Arte d’une heure et quart. (Les 5 premières minutes apportent déjà un bon éclairage sur la crise actuelle : austérité, baisse de la consommation, récession etc... Le cercle vicieux)

    http://youtube.com/embed/BAGohiOUbIM

     

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  • A l’issue d’une réunion d’information et d’échange au sujet des réseaux sociaux, une fiche nous a été remise. Je la reproduis ci-dessous.

                                                  Bonnes pratiques

    -       Tout internaute est producteur de contenus

    -       Dès qu’un contenu est publié il ne nous appartient plus

    -       Je suis : ce que je partage, ce que les autres publient sur moi

    -       Rien n’est gratuit sur Internet

    -       L’anonymat n’existe pas

    -       Etre conscient de ce que l’on veut faire sur le réseau

    -       Les trackers (moteurs intelligents) déduisent une image de moi

    -       Chaque réseau a ses propres codes : Twitter (abonnés, retweet, 140 caractères, #, livetweet, etc.), Facebook (like, fans, amis, etc.)

    -       Ne pas utiliser le même réseau pour sa vie privée et sa vie professionnelle

    -       Eviter de lier ses différents comptes

    -       Réfléchir avant de publier quoi que ce soit

    -       Choisir son réseau en fonction de son objectif professionnel/personnel

    -       N’intervenir (like, retweet, +, etc.) que sur des informations que vous jugez dignes d’intérêts

    -       Créer un profil authentique ou pas ? (ex. : possibilité de se créer un personnage)

    -       Gérer sa présence en ligne comme un projet à part entière (Que veux-je en faire ? A qui je souhaite m’adresser ? Pour quelle durée ? Etc.)

    -       Adapter ses actions en fonction des réseaux

    -       Connaître parfaitement les règles de confidentialité de chaque réseau

    -       Interagir avec sa communauté

    -       Surveiller votre style éditorial

    -       Vérifier régulièrement sa présence en ligne

    « S’il y a quelque chose sur vous que personne ne doit connaître, vous ne devriez peut-être pas en parler sur l’endroit le plus en vue ».  Eric Schmidt – Google.

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  • Comme vous le savez, Bordeaux est la deuxième ville préférée des
    Français : lire SO

     

     Pour voir le miroir d'eau sous tous ses aspects, clic sur l'image :

     

     

    Autre version du miroir d'eau par  Monique, une artiste locale :

    http://www.photodex.com/sharing/viewshow.html?fl=3154513&alb=0

     

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