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    La vidéo mise en ligne hier concernant l'avis de Michel Serres, était la version courte, celle-ci donne une nuance intéressante sur la pauvreté à partir d'une minutre trente cinq environ.

     

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    Résumé chez la reine.

    Michel Serres (suite)  -  La reine depuis son enfance

    http://www.youtube.com/watch_popup?v=E8nJhG1xE5o 

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    « La route de l'Atlantique (en norvégien : Atlanterhavsveien) est une section de la route nationale 64 (RV 64) située dans la partie nord de la zone côtière de Hustadvika. La route relie les communes de Eide et Averøy, situés dans le comté de Møre og Romsdal. La longueur totale de la section est de 8,274 kilomètres.

    Les travaux de construction ont débuté en 1983. L'inauguration a eu lieu le 7 juillet 1989. La route est construite sur plusieurs petites îles et récifs et emprunte, reliés par huit ponts, plusieurs chaussées et viaducs. Cette route a une vue sur la mer ouverte, ce qui est rare sur les routes du long de la côte norvégienne. On peut voir les fjords et les montagnes à proximité de la route. La route spectaculaire est rapidement devenue une attraction touristique, dans la mesure où des précautions doivent être affichées lors de la conduite, à cause de la fréquentation de cette route par la population locale et les visiteurs. Elle a été élue « construction norvégienne du siècle » le 27 septembre 2005 et est actuellement en Norvège la deuxième route la plus visitée après celle de Trollstigen »

    (Source : Wikipedia)

    Pour la parcourir : clic sur la route

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  • Définition de mots :

    ICI

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  • Versailles.

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    Versailles en cours d'évolution  : ICI

    Versailles après la révolution : ICI

    Des jardins au château de Trianon : ICI

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    Salut Baptiste ! Connais-tu des aphorismes ?

    -       Pour être précis, en voici la définition donnée par le petit Larousse 2001 : Aphorisme : sentence où s’opposent la concision d’une expression et la richesse d’une pensée, dont l’objectif est moins d’exprimer une vérité que de contraindre à réfléchir. Puis j’en ai relevé quelques-uns écrits par Françoise Sagan :

    -       Avant je buvais pour connaître les gens. Maintenant je bois pour les oublier.

    -       Pour pouvoir tromper un homme, il faut en être vraiment aimée.

    -       Je n’ai jamais eu envie de perdre ma vie… J’ai eu peur de continuer à vivre.

    -       Une femme qui a un amant est un ange. Une femme qui a deux amants est un monstre. Une femme qui a trois amants est une femme.

    -       S’il y a une calamité dont il faut se méfier aujourd’hui, à part la remontée du nazisme, c’est la télévision.

    -       Il est vrai que j’ai écrit plein de livres bâclés. Pourtant, il m’est arrivé de refaire onze fois les cinquante premières pages d’un roman.

     

    Et quelques autres de Desproges :

    -       Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la première gourde.

    -       Si tout le monde vous donne raison, c'est que vous êtes d'une intelligence remarquable... ou bien que vous êtes le patron.

    -       Il faut mépriser l'argent, surtout la petite monnaie.

    -       Il m'est arrivé de prêter l'oreille à un sourd. Il n'entendait pas mieux pour autant.

    -       De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent.

    -       Il vaut mieux se taire et passer pour un c.. plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute à ce sujet.

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  • Je viens de jouer à l’escargot ici : http://mukado33.canalblog.com/archives/2012/09/10/index.html

    Si ça vous tente ?

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  • Que fait-on lorsque le temps (encore lui) manque ?

    On insère une chanson... Quelques photos... Et les visiteurs ne viennent pas pour rien.

    En plus j'aime beaucoup la voix de Zaz et elle a une belle voie qui s'ouvre devant elle !

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    Le patrimoine, c'était sa journée : d'abord on fait la queue (c'était sa journée aussi)

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     Balade et ballade.

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    J'ai pensé que tout le monde aimerait voir une photo de Bordeaux : la voici

    Balade et ballade.

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    On approche et la direction est bien indiquée.

     Balade et ballade.

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    Bon d'accord, on est encore derrière les barreaux mais ça progresse !

    Balade et ballade. 

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    Nous y sommes - devant !

    Balade et ballade. 

     

    derrière (enfin ça dépend où on est et d'où on vient !

    Balade et ballade. 

    premier lustre

     

     

    Balade et ballade.

    deuxième lustre

     Balade et ballade.

    troisième lustre (oups ! non... le locataire des lieux !)

     Balade et ballade.

    C'est ici que ça se passe !

     

    Balade et ballade.

    Un dernier lustre et on s'en va !

     Balade et ballade.

    Toutes les photos ont été prises au iphone 4s

     

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    Salut Baptiste ! La rentrée n’est pas loin… On peut encore en parler…

    -       Oui et après la dictée, j’aimerais aborder la conjugaison, Si on veut mettre le paquet et frapper fort n’hésitons pas, attaquons nous tout de suite au subjonctif.

    -       Ce n’est pas trop ?

    -       Pas du tout, surtout lorsqu’il est imparfait… C’est un vrai délice. Je ne résiste pas au plaisir de remettre ce texte en ligne, je ne me lasse pas de le relire de temps en temps.

    -       « Docteur, ma femme est clouée au lit, je souhaiterais que vous la vissiez », écrivait mon préféré en la matière Alphonse Allais. 

    Il composa une complainte amoureuse, capable d’affronter tous les temps !

    L’érotisme torride, des vers qui suivent, aurait été capable d’émouvoir même une agrégée de grammaire.

      

    Oui, dès l’instant où je vous vis,

    Beauté féroce, vous me plûtes ;

    De l’amour qu’en vos yeux je pris,

    Sur-le-champ vous vous aperçûtes.

    Mais de quel air froid vous reçûtes

    Tous les soins que pour vous je pris !

    Combien de soupirs je rendis !

    De quelle cruauté vous fûtes !

    Et quel profond dédain vous eûtes

    Pour les vœux que je vous offris !

    En vain, je priai, je gémis,

    Dans votre dureté vous sûtes

    Mépriser tout ce que je fis ;

    Même un jour je vous écrivis

    Un billet tendre que vous lûtes

    Et je ne sais comment vous pûtes,

    De sang-froid voir ce je mis.

    Ah ! Fallait-il que je vous visse,

    Fallait-il que vous me plussiez,

    Qu’ingénument je vous le disse

    Qu’avec orgueil vous vous tussiez ;

    Fallait-il que je vous aimasse

    Que vous me désespérassiez

    Et qu’en vain je m’opiniâtrasse

    Et que je vous idolâtrasse

    Pour que vous m’assassinassiez !

     

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  • Pour ceux qui préparent la rentrée. (Les quelques scolaires qui visitent le blog peuvent entamer des révisions avec cette jolie chanson...). En plus j'aime beaucoup cet enchevêtrement de jeux de mots et le labyrinthe au sein duquel ils s’expriment en trouvant toujours une belle sortie !

     

    Etre et avoir

     

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    Loin des vieux livres de grammaire
    Écoutez comment un beau soir
    Ma mère m'enseigna les mystères
    Du verbe être et du verbe avoir...

    Parmi mes meilleurs auxiliaires
    Il est deux verbes originaux
    Avoir et Être étaient deux frères
    Que j'ai connus dès le berceau

    Bien qu'opposés de caractères
    On pouvait les croire jumeaux
    Tant leur histoire est singulière
    Mais ces deux frères étaient rivaux

    Ce qu'Avoir aurait voulu être
    Être voulait toujours l'avoir
    À ne vouloir ni dieu ni maître
    Le verbe Être s'est fait avoir

    Son frère Avoir était en banque
    Et faisait un grand numéro
    Alors qu'Être, toujours en manque
    Souffrait beaucoup dans son ego

    Alors qu'Être toujours en manque
    Souffrait beaucoup dans son ego

    Pendant qu'Être apprenait à lire
    Et faisait ses humanités
    De son côté sans rien lui dire
    Avoir apprenait à compter

    Et il amassait des fortunes
    En avoirs, en liquidités
    Pendant qu'Être, un peu dans la lune
    S'était laissé déposséder

    Avoir était ostentatoire
    Dès qu'il se montrait généreux
    Être en revanche, et c'est notoire
    Est bien souvent présomptueux

    Avoir voyage en classe Affaires
    Il met tous ses titres à l'abri
    Alors qu'Être est plus débonnaire
    Il ne gardera rien pour lui

    Alors qu'Être est plus débonnaire
    Il ne gardera rien pour lui

    Sa richesse est tout intérieure
    Ce sont les choses de l'esprit
    Le verbe Être est tout en pudeur
    Et sa noblesse est à ce prix...

    Un jour à force de chimères
    Pour parvenir à un accord
    Entre verbes ça peut se faire
    Ils conjuguèrent leurs efforts

    Et pour ne pas perdre la face
    Au milieu des mots rassemblés
    Ils se sont répartis les tâches
    Pour enfin se réconcilier

    Le verbe Avoir a besoin d'Être
    Parce qu'être c'est exister
    Le verbe Être a besoin d'avoirs
    Pour enrichir ses bons côtés

    Et de palabres interminables
    En arguties alambiquées
    Nos deux frères inséparables
    Ont pu être et avoir été

    Et de palabres interminables
    En arguties alambiquées
    Nos deux frères inséparables
    Ont pu être et avoir été.

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  • Silence. En cette période de canicule, rafraichissons-nous.

     

    Clic sur le lien ci-dessous : (après le départ, en agissant sur la petite roue dentée des boutons de réglages en bas à droite de la vidéo, on peut la voir en haute définition - 720p HD)

     

      

    http://www.youtube.com/embed/2uUk9K9TQhg

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