• 2011.08.27
     
     
    Salut Baptiste ! En as-tu une pour cette fin de semaine ?
     
    -      Bof … Pas grand-chose …
     
    -      Une racontable à tout le monde.
     
    -      L’autre jour je me promenais avec Descounayré, tu sais qu’il est bègue comme ce n’est pas possible. Alors nous flânions tranquillement en ville, et il me dit :
     
    *    T’as… t’as… t’as… vu… vu… vu… la… la… la… Jojojo… lie… fififi…fifille… kiki vient dededede pas… pas… passer ?
     
    *    Non je ne l’ai pas vue.
     
    *    Trop…trop… trop… tard… èl…aile… elle .. est …dédé jàjà… loin !
     
    Cinq minutes après :
     
    ·        Tata… tata… ta…vuvu… le chichi… le chichi… chichi… yen… yen…
     
    le chien… kiki  ki… ki… mama… mama… mamarche  susur trois… papa… papa… papattes ?
     
    ·        Non je ne l’ai pas vu.crotte.jpg
     
    ·        Cessez… sait sait… c’est c’est… troptrop…tatatatata… tatard !
     
    Tu imagines comme c’est gonflant d’avoir des conversations de ce style, bien qu’il soit très sympa Descounayré, j’avais envie qu’il se taise.
     
    Cinq minutes plus tard le revoilou :
     
    §  T’as …tata…tata… vuvu …
     
    §  OUI j’ai VU !
     
    §  Gragragra…grand… grand… coucou… coucou… couillon… sisi… sisi… si tata…tata… t’avait vu… titi… titi… t’y aurais papa… pas … marché dessus !
     
     
     
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  • 2011.08.25

    Salut Baptiste ! On parle beaucoup d’argent au gouvernement en ce moment ?

    -      Il en faut… Bien que certains n’en aient pas besoin tel le Baron.

    -      Quel est cette allusion ? 3052200844_602792e769.jpg

    -      Oh… c’est une vieille histoire bien connue et très explicite que je vais te raconter une nouvelle fois.

    Madame convoque les chefs d’entreprises sur son chantier et fait un rapide résumé du projet qui lui tient à cœur.

    En premier lieu elle s’adresse à l’entrepreneur en terrassement :

    -      Voyez-vous sur le front de mer, et sur environ 2 km je voudrais que vous remplaciez les galets par du sable blanc.

    -      Mais Madame, rendez-vous compte, cela va coûter horriblement cher. Il faut que j’affrète 200 camions, qui iront charger le sable où vous savez pour le livrer où vous dites…

    -      Ecoutez… ça coûtera ce que ça coûtera mais le Baron arrive dans quinze jours et je veux une grande plage de sable blanc.

    -      Bien Madame.

    Elle s’adresse ensuite au paysagiste :

    §  Là-bas voyez-vous je voudrais une sorte de bosquet verdoyant, avec des essences diverses, et un sentier de promenade … Enfin vous comprenez n’est-ce pas ?

    §  Mais Madame cela va coûter une somme inimaginable… Vous réalisez tout ce que je dois mettre en œuvre pour planter un bosquet en quinze jours… C’est colossal…

    §  Ecoutez cher monsieur… ça coûtera ce que ça coûtera, mais le Baron arrive dans quinze jours et je veux ce bosquet qui lui cachera l’horizon vers l’Est, car le paysage est moins agréable à regarder.

    Elle s’adresse ensuite au pisciniste :

    v Voilà, je voudrais ici devant la terrasse une piscine à vagues de 200 mètres sur 60 mètres, un grand toboggan, et sur le côté il faudra construire un hammam et un sauna.

    v Madame c’est impossible de faire tout cela en quinze jours sans mettre en marche un nombre considérable d’entreprises et tout cela va coûter incroyablement cher !

    v Monsieur ! Le Baron arrive dans quinze jours ça coûtera ce que ça coûtera, je veux qu’il dispose de cette piscine dès son arrivée.

    Quinze jours plus tard le Baron arrive, il reçoit un de ses meilleurs amis auquel il offre un verre, qu’ils vont déguster en s’allongeant sur les transats de la terrasse, et là il lui confie :

    -      Tu vois cher ami, quand tu es comme cela assis sur cette terrasse face à la plage de sable blanc, avec ce magnifique bosquet que l’on aperçoit vers l’Est, avec cette piscine à vagues à nos pieds… Eh bien je vais te dire : l’argent n’a pas d’importance !

     

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  • genie.jpg

    2011.08.11

     Salut Baptiste ! Tu as l’air… ailleurs….

    -      Je suis tellement préoccupé par ceux que les journalistes appellent les marchés, que je n’ai plus d’inspiration. Les marchés font ceci, les marchés font cela.

    Un peu comme si vous disiez, la voiture ne veut plus rentrer au garage, la voiture est capricieuse, la voiture n’accepte plus d’embarquer cinq personnes etc.

    -      C’est long comme lacune !

    -      Du coup je pense aux épitaphes.

    -      Pour enterrer les marchés.

    -      Faudra voir…

     

    Epitaphes :

    Paul Léautaud (1872 – 1956), qui signait ses terribles critiques théâtrales du pseudonyme de Maurice Boissard, écrivit ainsi pour la dernière fois :

    Ci-gît Paul Léautaud

    Plus connu, Maurice Boissard.

    Quand on l’enterra : « C’est bien tôt »,

    Dirent quelques-uns, mais à part,

    Beaucoup pensèrent : « C’est bien tard ! »

     

    Une épitaphe qui fût proposée pour Richelieu :

    Ci-gît un fameux Cardinal

    Qui fit plus de mal que de bien

    Le bien qu’il fît, il le fit mal

    Le mal qu’il fit, il le fit bien.

     

    Et pour terminer, encore une blague :

    Un type est en train de marcher le  long de l'Adour à Bayonne et il trébuche sur une vieille  lampe. Il la ramasse, la frotte et un génie  en sort.

    Le génie, lui dit :

    - Tu peux être content : je t'accorde un vœu !’

    Le type s'assoit et pense  longuement... Au bout d'un moment, il se décide et demande :

    - J'ai  toujours rêvé d'un voyage à Tahiti, malheureusement j'ai peur de l'avion et j'ai le mal de mer. Pouvez-vous me construire un pont jusqu'à Tahiti, pour que je puisse m'y rendre en  voiture ?

    Le génie ne dit rien pendant  quelques secondes, puis éclate de rire :

    - C'est impossible ! Pense à ce qu'il faut utiliser pour soutenir un tel pont, pense au béton qu'il faudra faire couler, aux tonnes d'acier... Je suis un génie, OK, mais je ne  peux pas faire de miracle... Il faut tout de même rester dans le domaine  du raisonnable !

    Non, demande-moi autre chose, c'est  trop compliqué !

    Le type se remet à réfléchir. Au bout de quelques minutes il trouve autre chose :

    - J'ai été marié et j'ai divorcé quatre fois. Mes femmes m'ont toujours dit que je  ne m'intéressais pas à elles et que j'étais insensible. Alors, ce que je voudrais, c'est...comprendre les femmes. Savoir ce qu'elles ressentent, et ce qu'elles pensent lorsqu'elles sont silencieuses... Savoir pourquoi elles pleurent, ce qu'elles veulent vraiment dire lorsqu'elles disent  non... Pouvoir les rendre heureuses... Bref, comprendre leur  psychologie.

    Le génie le regarde, puis demande :

    - Le pont, tu le veux avec 2 ou 4 voies ?

     

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  • Aujourd'hui... j'ai pris du retard... histoire de prendre quelque chose...
    Je vous propose du "tout fait", un sketch que quelques-uns connaissent,
    cependant, il est si drôle qu'il me fait toujours rire.
    -
     
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  • Le courrier réponse à la lettre de son éventuel  futur employeur est une belle trouvaille dans son argumentation.
    -
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  • Salut Baptiste ! Pourrais-tu me raconter encore quelques histoires ?

    -      Je ne suis pas un spécialiste… Bon les dernières alors !

     

    Qu’est devenu votre fiston Madame Archnouf ?

    -      Il est agriculteur.

    -      Agriculteur à Paris… ? Il n’y a pas d’agriculteurs à Paris…

    -      Si… Il est aux champs… Il habite aux Champs Elysées et il travaille au Champ de Mars.

    -      Et que produit-il ?

    -      Ben… Il travaille dans les herbes et récolte du blé et de l’oseille.

     

    Bonjour monsieur le Directeur, j’ai une bonne nouvelle et une mauvaise à vous annoncer.

    -      Bon… Commençons par la mauvaise.

    -      Les Chinois sont sur la Lune !

    -      Incroyable, comment font-ils pour aller si vite… Ils vont tout s’accaparer… Et la bonne ?

    -      Hé bien… ils y sont tous !

     

    Et voici quelques consignes relevées sur des produits divers :blague.jpg

    Précautions d'emploi ...

    Sur un savon DOVE : « Utiliser comme un savon normal »

     

    Sur un tiramisu Tesco's :

    « A consommer avant  " voir ci-dessous ", et en dessous, juste à côté de la date limite de consommation : « Ne pas retourner »

    (Trop tard !)

     

    Sur un pudding Marks & Spencer : « Le produit sera chaud après avoir été réchauffé »

     

    Sur le paquet d'un fer ROWENTA

    « Ne pas repasser les vêtements à même le corps »

    (Pourtant cela ferait gagner pas mal de temps, non ?)

     

    Sur un somnifère Nytol :

    « Attention ce produit peut entraîner un état de somnolence »

     

    Sur un sèche-cheveux SEARS, on peut lire

    « Ne pas utiliser en dormant »

     

    Sur un sachet de FRITOS:

    « Grand concours, nombreux prix. Gratuit sans obligation d'achat. Détails à l'intérieur du paquet »

     

    Sur un sirop pour la toux pour enfant :

    « Ne pas conduire ou utiliser de machine-outil après absorption »

     

    Sur la plupart des guirlandes lumineuses de Noël :

    « Pour usage intérieur et extérieur uniquement »

     

    Sur un robot de cuisine japonais :

    « Ne doit pas être utilisé pour un autre usage »

     

    Sur un paquet de cacahuètes Steinsbury :

    « Avertissement : contient des cacahuètes »

     

    Sur un paquet de biscuits apéritif American Airlines:

    Instruction : 1. Ouvrir paquet - 2. Manger biscuit.

     

    Et la meilleure pour la fin : Sur une tronçonneuse suédoise :

    « Ne pas essayer d'arrêter la chaîne avec les mains ou les parties génitales »

    Si ce n'est pas une erreur de traduction, ils sont balèzes ces Suédois !!!

     

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  • Salut Baptiste ! Avec ce temps qui ne réjouit personne le mieux serait de raconter quelques blagues ?

    -      Tu es sûr ?

    -      Je ne suis sûr de rien… mais essayons…

     C’est un couple de belges qui veut refaire son appartement. Pour cela ils ont l’intention de poser du papier peint dans toutes les pièces.

    -      Faudrait qu’on mesure la surface pour calculer le nombre de rouleaux nécessaires, dit Jeanne.

    -      Pas la peine, répond Georges, les Van Der Bruck qui ont exactement le même appartement ont tout refait chez eux la semaine dernière, je vais leur demander.

    Agriculture-et-Industrie-3005.jpg

    o   Bonjour monsieur Van Der Bruck, savez-vous combien il faut de papier pour refaire entièrement le logement ?

    o   Oui… Il vous faut trente-deux rouleaux une fois.

    o   Merci monsieur Van Der Bruck.

    Ils achètent trente-deux rouleaux, posent le papier et il leur reste quatre rouleaux.

    -      Ca est bizarre une fois ! Comment c’est possible qu’il nous reste quatre rouleaux ? N’est-il pas Georges ?

    -      Ca est étonnant une fois… Je vais demander aux Van Der Bruck.

    o   Bonjour monsieur Van Der Bruck, nous venons de tapisser l’appartement, mais je ne sais pas pourquoi j’ai quatre rouleaux en plus. Vous nous aviez bien dit qu’il fallait trente-deux rouleaux, n’est-il pas ?

    o   Bien sûr. Et combien croyez-vous qu’il me reste de rouleaux à moi aussi ?

     

    Saint Pierre reçoit au Paradis… Comme d’habitude il accueille les nouvelles et nouveaux par groupe de dix. Ce matin ce sont dix dames qui sont au rendez-vous et l’ange préposé à l’accueil les fait aligner côte à côte puis pose la question rituelle :

    -      Que celles qui ont trompé leur mari pendant leur séjour sur terre fassent un pas en avant.

    Neuf avancent d’un pas tandis qu’une seule ne bouge pas.

    Alors l’ange se tourne vers Saint Pierre et lui demande :

    -      Et pour la sourde que fait-on ?

     

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  • duo-des-non.jpg

     

    Un bon moment de rigolade avec le « Duo des Non »

    http://www.sudradio.fr/index.php?id=124

     

    Ensuite clic sur :  le titre à la date choisie

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  • 2011.07.28

     

     Un excès d’étiquette peut nuire !

    Transports-278.jpg

     Salut Baptiste ! Il y a déjà quelques temps… nous avons pu voir une belle cérémonie chez nos amis anglais à l’occasion du mariage du prince.

     

    -      Effectivement… Une belle cérémonie.

     

    -      Le protocole est strict en Angleterre. -

    -      Bien sûr et la Reine y tient tout particulièrement.

     

    -      Elle aime rouler carrosse ?

     

    -      Probablement… A ce sujet une belle anecdote circule. Un jour elle avait accueilli dans son carrosse un grand de ce monde et, au cours du déplacement, un cheval lâcha un bruit incongru qui n’était autre qu’un pet ! (Un énorme prout !)

     

    -      How shocking !

     

    -      Exactement… Au nom du royaume, la Reine se sentit obligée de présenter des excuses.

    Son invité rétorqua aussitôt : « Si vous n’aviez rien dit Majesté, j’aurais pensé que c’était le cheval » !

     

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  • 2011.07.26

    Salut Baptiste ! Tu étais à Paris pour la Fête Nationale du 14 juillet ?

    -      Non, j’aurais bien aimé voir le feu d’artifice à condition de pouvoir dormir sur place, sur le Champ de Mars ! Des proches s’y trouvaient et ont connu de grandes difficultés à rejoindre leur chambre d’hôtel. Aussitôt le bouquet final envoyé, c’est le bouquet dans les transports ! Encore un souvenir…

    -      Tu n’as pas oublié de me raconter un épisode du passage des troupes en revue ?

    -      Ah oui… c’est une histoire qui me plait beaucoup. Cela se passe au sein d’un régiment où le colonel passe les troupes en revue. Ceux qui ont fait le service militaire savent comment cela se déroule. Les soldats sont alignés impeccablement, et l’autorité avance lentement devant le front du rassemblement en fixant chaque soldat dans les yeux (en tout cas ceux du premier rang). Personne ne bronche.

    Donc, ce Colonel, avance d’un pas lent et martial, et fixe du regard chaque soldat en répétant devant chacun d’eux : « moi aussi !...moi aussi !...moi aussi !... » autant de fois qu’il y a de rangs de soldats.Problemes-Sociaux-et-Gouvernement-798.jpg

    Une fois la cérémonie terminée, les cadres se retrouvent au débriefing et le commandant en second en profite pour poser la question au Chef de Corps : « Mon Colonel, permettez-moi de vous poser une question, que signifie ce petit mot que vous adressez à chaque soldat en passant les troupes en revue ? Il m’a semblé vous entendre dire moi aussi devant chacun d’eux ». Effectivement, répond le Colonel, et en voici l’explication : lorsque j’étais moi-même soldat et que le colonel nous passait en revue, je le regardais droit dans les yeux en pensant : « je t’emmerde ! », alors maintenant que je suis colonel, j’imagine qu’ils pensent la même chose, ainsi j’en profite pour leur répondre : « moi aussi ! »

     

    PS : comme dit le comique "vous n'êtes pas obligés de me croire !"

     

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