• La jeune fille du métro.

     

     

    Dans le cadre des fausses rimes, voici :
    LA JEUNE FILLE DU MÉTRO

    C'était une jeune fille simple et bonne
    Qui demandait rien à personne
    Un soir dans l'métro, y avait presse
    Un jeune homme osa, je l'confesse
    Lui passer la main ... Sur les ch'veux
    Comme elle était gentille, elle s'approcha un peu.

    Mais comme a craignait pour ses robes
    A ses attaques elle se dérobe
    Sentant quelqu'chose qui la chatouille
    Derrière son dos elle tripatouille
    Et tombe sur une belle paire ... De gants
    Que l'jeune homme, à la main, tenait négligemment.

    En voyant l'émoi d'la d'moiselle
    Il s'approcha un p'tit peu d'elle
    Et comme en chaque homme, tout de suite
    S'éveille le démon qui l'habite
    Le jeune lui sorti ... Sa carte
    Et lui dit j'm'appelle Jules, et j'habite rue Descartes.

    L'métro continue son voyage
    Elle se dit c'jeune homme n'est pas sage
    Je sens quelque chose de pointu
    Qui d'un air ferme et convaincu
    Cherche à pénétrer ... Dans mon cœur
    Ah qu'il est doux d'aimer, quel frisson de bonheur.

    Ainsi à Paris, quand on s'aime
    On peut se le dire sans problème
    Peu importe le véhicule
    N'ayons pas peur du ridicule
    Dites-lui simplement ... Je t'en prie
    Viens donc à la maison manger des spaghettis.

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  • Commentaires

    2
    Jeudi 28 Mai 2015 à 13:15

    Ravi de te revoir ici Marité.

    C'est vrai que le spaghetti est par nature une arme peu agressive et ne présente pas le danger des objets contondants...

    Gros Becs Marité.

    1
    Jeudi 28 Mai 2015 à 12:39
    Marité

    Ah, les transports... en commun... sont toujours affriolants ! Et ça se termine avec des spaghettis... étonnant non !!!
    GROS BECS Guy

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