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  • Salut Baptiste ! La campagne bat son plein…

    -       -  Oui… Super. Quoi de mieux pour animer les soirées tv ?

    -       - Effectivement, d’habitude – comme disait l’autre – on s’emmerde en regardant la télé et si on l’allume c’est pire…

    -       Tandis que là, du théâtre en direct et en impro… formidable ! Mais ça ne va pas durer. Le 7 mai ce sera le second tour, le 8 mai on dépose les gerbes et le 9 mai les 49 % qui n’ont pas pu atteindre les 50% et plus sont dans la rue.

    -       -   Déjà ?

    -       -   J’exagère un peu, il faudra attendre encore jusqu’au 18 juin.

    -       -   Ah oui pour l’appel ?

    -       - T’es relou toi ! L’appel de quoi ? Il faudra attendre le second tour des législatives pour savoir si le nouveau président fait tout lui-même ou s’il doit cohabiter.

    Ce qui paraissait réglé avec le quinquennat et les législatives concomitantes à la présidentielle, ne paraît pas aussi assuré avec les couillonnades des uns et des autres…

    -       -   Et après ?

    -       -   Et après tout le monde gonfle les pneus pour foncer vers le sable chaud…

    -       -   Et après ?

    -       - Et voilà… Après… après… les 49 % défilent pour emmerder les 51 %. Tandis que moi je te fais toujours plaisir quand je viens chez toi. Si ce n’est pas en arrivant, c’est en repartant.

    Le jour d'après.

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  • L'Europe en course. Salut Baptiste ! Qu’est-ce que j’entends ? Une course européenne se déroule et les coureurs se donnent des coups de pieds dans le ventre par derrière ?

    -       Une expression que j’aime beaucoup mais qui n’est pas de toi !

    -       Effectivement, elle est du célèbre San Antonio mais c’est une image qui me plait, car donner des coups de pied dans le ventre par derrière c’est déjà une belle réussite sportive.

    -       Pour revenir à cette course voilà la liste des inscrits :

    • MADAME Angela Merkel pour l’Allemagne (née en 1954)
    • Werner Fraymann pour l’Autriche (né en 1960)
    • Elio Di Rupo pour la Belgique (né en 1951)
    • Marin Raïkov (par intérim) pour la Bulgarie (né en 1960)
    • Nicos Anastasiades pour la République de Chypre (né en 1946)
    • MADAME Helle Thorning-Schmidt Danemark (née en 1966)
    • Mariano Rajoy pour l’Espagne (né en 1955)
    • Andrus Ansip pour l’Estonie (né en 1956)
    • Sauli Niinistö pour la Finlande (né en 1948)
    • François Hollande pour la France (né en 1954)
    • Antónis Samarás pour la Grèce (né en 1951)
    • Viktor Orbán pour la Hongrie (né en 1963)
    • Enda Kenny pour l’Irlande (né en 1951)
    • Enrico Letta pour l’Italie (né en 1966)
    • Valdis Dombrovskis pour la Lettonie (né en 1971)
    • Algirdas Butkevičius pour la Lituanie (né en 1958)
    • Jean-Claude Juncker pour le Luxembourg (né en 1954)
    • Joseph Muscat pour Malte (né en 1974)
    • Mark Rutte pour les Pays-Bas (né en 1967)
    • Donald Franciszek Tusk pour la Pologne (né en 1957)
    • Pedro Passos Coelho pour le Portugal (né en 1957)
    • Victor Viorel Ponta pour la Roumanie (né en 1972)
    • David Cameron pour le Royaume-Uni (né en 1966)
    • Robert Fico pour la Slovaquie (né en 1964)
    • MADAME Alenka Bratušek Slovénie (née en 1970)
    • Fredrik Reinfeldt pour la Suède (né en 1965)
    • Petr Nečas pour la République Tchèque (né en 1964)

    -       Trois femmes sur vingt-sept ? On est loin de la parité.

    -       C’est vrai, mais quelles femmes… C'est pour les distinguer que j'ai indiqué Madame en lettres capitales.  De vraies dirigeantes superbes.
    Ceci dit, seuls les représentants des pays suivants : Allemagne, Autriche, Belgique, Chypre, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Portugal, Slovénie, Slovaquie, ont payé leur inscription en Euro ; les autres ont conservé leur monnaie.

    -       Et ensuite ?

    -       Maintenant nous avons les yeux rivés sur le déroulement de la course. Angela est en tête pendant que François essaie de la rattraper sans trop y croire, tandis que les autres sont un peu à la traîne pour quelques-uns...
    A-t-il enfilé un short trop long ? S’est-il insuffisamment entraîné ? S’est-il entouré d’un bon coach ? Il y a des supporters qui lui crient : « COURS PLUS VITE ! » et d’autres qui lui disent : « ne te fatigue pas tu ne la rattraperas jamais ». Il y en a même qui envisagent de sermonner vertement Angela, lui reprochant de courir trop vite devant François. On se demande même si elle ne le fait pas un peu exprès pour l’asphyxier ?

    Enfin… de grands enfants quoi ?

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  • Salut Baptiste ! Les réformes avancent… au rythme du programme.
    Pratique avec le programme, il suffit de suivre. Les gens ont donc voté pour tout ce qui est dedans.

    -       C’est ce que l’on dit quand on prend les citoyens pour des truffes, car le programme n’a qu’une utilité électorale ensuite on fait comme on veut. De plus, lorsqu’un électeur se prononce sur le choix d’un candidat, il n’a pas le sentiment le même jour de voter toutes les lois qui sont dans le programme, d’autant que bien souvent il y a tout... et aussi l’inverse !

    -       Ca dépend de quel bord on est ?

    -       Comme aurait dit Coluche : « je ne suis ni de gauche, ni de droite, bien au contraire ! », mais que constate-t-on en ce moment ? un coup d’accélérateur sur le vote de la loi qui doit être adoptée sans rechigner, dit-on, car elle était dans le programme.

    -       Tout le programme passera donc ?

    -       Pas certain, dans chaque mandature, l’élu fait comme il l’entend puisque (le passé en témoigne et le présent le confirme), il y a les projets qui sont dans le programme et que l’on veut faire passer, il y a ceux qui n’y sont pas et qu’on ajoute en disant qu’un fait nouveau les a rendus nécessaires, il y a ceux qui y sont et que l’on ne veut plus, et là on argumente pour traîner ou justifier leur enterrement.

    -       Ah bon ? Tu as un exemple ?

    -       La loi sur le mariage pour tous qui ne touche pas les députés ni les sénateurs est votée de toute urgence, celle sur le cumul des mandats qui permettrait à de nombreux nouveaux d’entrer en politique et qui, par voie de conséquence, en éjecterait quelques-uns (de certains postes occupés à vie quelquefois)  est bien au programme mais n’est pas prête de sortir !

    -       Comme ce sont les élus qui votent les réformes ils ne sont pas pressés d’appuyer sur le bouton de leur siège éjectable.

    -       Effectivement comme me disait un jour un spécialiste des réformes « un organisme est incapable de se réformer lui-même » !

    -

    Propositions du candidat n°1

     

    •   Je réduirai le prix de l’essence
    •   J’augmenterai le prix du gaz
    •   Je frapperai les riches
    •   Il fera soleil tous les jours
    •   Les élus seront tous honnêtes
    •   Je boucherai les nids de poules sur les routes
    •   Je supprimerai la prostitution
    •   Je supprimerai le travail les jours fériés.
    •   Tout le monde aura une bougie pour s’éclairer
    • L'essentiel sera le principal.

    Propositions du candidat n° 2

     

    • Je   réduirai le prix du gaz
    • J’augmenterai   l’électricité
    • Je   baisserai les impôts
    • J’augmenterai   les taxes
    • Il   n’y aura plus de pauvres
    • Je   distribuerai des parapluies
    • Je   referai les lignes blanches
    • Il   n’y aura que de lendemains heureux.
    • L’avenir   sera devant nous.
    • Tout   le monde aura une bougie pour la mettre… où il voudra !
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  • Salut Baptiste ! Alors cette affaire… On est dur avec ce député menteur non ?

    -       Je trouve qu’on était plus dur avec nous quand nous étions élèves.

    -       Tu es sûr ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

    -       Tu imagines l’instituteur dit : « élève Baptiste… sortez ! »

    -       Et je lui réponds : « si je veux ! J’ai jusqu’au 19 avril pour me décider… »

    -       Hou…hou… font les autres élèves.

    -       Quand les enfants voteront les lois, la société sera plus juste et moins laxiste.

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  • Histoire du "paradis perdu". Salut Baptiste ! L'actualité est animée...

    -       Quelle affaire.

    -       Il a menti.

    -       Oui... On ne parle que de cela. C'est grave, mais il ne faudrait pas que ce soit l'arbre qui cache la forêt.

    -       C'est à dire ?

    -       Attendons la suite et soyons vigilants sur ce que l'on va nous raconter pour nous endormir, car l'important réside dans les réponses aux questions telles que :

    • D'où venait l'argent caché à l'étranger.
    • Que rétribuait-il ? Des autorisations de mise sur le marché de médicaments ?
    • Ces médicaments étaient-ils efficaces ?
    • Si tel est le cas, pourquoi les laboratoires sont-ils prêts à payer aussi cher pour obtenir ce feu vert ?
    • Le fruit des activités professionnelles ?
    • La somme de 600 000 € annoncée paraît bien faible par rapport à ce que l'on peut imaginer en pareille situation. Une partie a peut-être été dépensée ? Pour financer quoi ?

    Il se pourrait que les réponses à ces questions bénéficient de l'application du couvercle de la bienséance... Si vous voyez ce que je veux dire...

    -       Les journalistes nous informeront.

    -       Hum...Méfions-nous, quelques-uns n’hésitent pas à servir la soupe aux politiques, lesquels se soumettent à la règle du parti qui consiste à dire ce que le parti a dit qu'il fallait dire.

    Il reste une émission (en direct ce qui est primordial) où l'on peut entendre des intervenants dire à peu près ce qu'ils pensent – du fait qu'en règle générale ils ne sont pas sous la pression d'une structure – c’est : « Ce soir ou jamais » de Frédéric Taddéi. (Comme elle passe en deuxième partie de soirée le vendredi, on peut l'enregistrer, ou la voir en vidéo les jours suivants).

    -       En réalité il semblerait que tout le monde recherche le paradis, ceux qui ont de grosses sommes et qui ouvrent des comptes là où on ne leur raconte pas de conte, et ceux qui déposent pieusement leurs centimes à la quête, là où ils croient au conte puisque leur compte est épuisé.

    Et la dette ?

    -       Bien sûr qu'il faut rembourser la dette… ce doit être cet argent qu'ils placent au paradis !

    -       Ah voilà... Si on ne remboursait pas la dette, ce serait le paradis perdu !

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  • -       Jérôme Cahuzac croyait qu’il n’y avait pas de banque en Suisse..

    -       Nicolas Sarkozy croyait que Gentil ce n’était pas le nom du juge mais sa qualité.

    -       Le juge Gentil croyait que Nicolas Sarkozy n’était pas nerveux.

    -       Les citoyens qui ont voté Hollande croyaient que l’essence baisserait et que leur salaire augmenterait.

    -       Les citoyens qui ont voté FN croyaient que l’UMP imploserait.

    -       Les citoyens qui ont voté Sarkozy, croyaient qu’au dernier moment il y aurait suffisamment de transfuges pour réélire Sarkozy.

    -       Les économistes croyaient que tout le monde savait que, quoiqu’il arrive et que quel que soit l’élu, les impôts augmenteraient car la situation est catastrophique.

    -       Les classes moyennes croyaient pouvoir espérer qu’elles seraient épargnées et que pour une fois, on taperait plus fort plus haut.

    -       Les citoyens qui ont voté Front de Gauche croyaient qu’ils seraient plus nombreux et que le capitalisme en prendrait un coup dans les dents.

    -       Les citoyens qui ont voté Bayrou croyaient que cette fois-ci le peuple reconnaitrait l’honnêteté de leur champion et seraient plus nombreux à le pousser en avant.

    -       Les truands croyaient que le nouveau ministre de l’intérieur serait plus cool.

    -       Manuel Vals croyait que la criminalité baisserait.

    -       Le gouvernement croyait qu’il y aurait un minimum de « reprise » (comme aurait dit ma grand-mère au coin du feu en train de réparer les chaussettes) et que le chômage baisserait sensiblement.

    -       François Hollande croyait que la taxe de 75% pour la partie dépassant le million d’euros ne serait pas « recalée » par le Conseil Constitutionnel.

    -       Le Pape Benoit 16 croyait que sa santé lui permettrait de vaincre l’adversité.

    -       Barack Obama croyait que le congrès lui serait favorable.

    -       Les plus riches du monde croyaient qu’ils pourraient continuer indéfiniment de pressurer les plus faibles et de continuer sans cesse à s’augmenter.

    -       Les banquiers croyaient que vivre dans l’illusion était définitivement entré dans les mœurs et que plus rien ne freinerait une expansion exponentielle.

    -       Les cons croyaient tout ce qu’ils entendaient.

    -       François Fillon croyait que François Coppé savait compter.

    -       François Coppé croyait que François Fillon était un mollasson.

    -       Les milliardaires Russes croyaient que les Chypriotes feraient suffisamment pression sur les Européens pour que les milliards continuent à enfanter des petits aux frais de qui ? Ils n’en ont rien à foutre pourvu que ça continue.

    -       Les rêveurs croyaient que les restos du cœur recevraient de plus en plus de boites de cassoulets pour nourrir de plus en plus de monde.

    -       La plupart des gens dans le monde croient que la crise est derrière nous alors que le pire est à venir car les USA vont replonger.

    -       Les organisateurs de la manif croyaient qu'ils étaient 1 400 000.

    -       La police croyait qu'ils étaient 300 000.

    -       Les manifestants croyaient pouvoir visiter l'Elysée.

    -       Les policiers croyaient que les ordres seraient faciles à appliquer. 

     

    Et avec ça on va me dire qu’il y a de moins en moins de croyants, moi je ne le crois pas !  

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  • Perspective. Salut Baptiste ! On voit que petit à petit l’économie de la France faiblit pour ne pas dire mollit.

    -       J’aimerais rappeler deux idées mises sur la table il y a quelques années, qui montrent – me semble-t-il - que l’on peut bien dire n’importe quoi puisque plus tard plus personne ne l’évoque.

    -       Intéressant… Je suis curieux… De quoi s’agit-il exactement ?

    -       Je me souviens du président Pompidou (tu vois que ce n’est pas d’hier), s’inquiétant (déjà) à propos du chômage qui touchait à l’époque moins de cinq cent mille Français, s’ingéniant à promouvoir l’idée que la robotisation n’aurait pas d’effet néfaste sur l’emploi. En substance, il présentait les choses ainsi : « l’avenir ne sera pas pire, et il ne faut pas craindre le remplacement d’employés par des systèmes automatisés ; dans le futur les robots feront le travail, ce qui n’empêchera pas l’employé de percevoir son salaire, en revanche, il profitera de loisirs beaucoup plus qu’actuellement puisqu’il  passera beaucoup moins de temps devant une machine ». Nous connaissons la suite… C’est l’entreprise qui a empoché la mise dont les dirigeants freinent des quatre fers les « aides sociales » et autres dépenses de soutien…

    Deuxième cas, la mondialisation.

    Le président Chirac disait : « n’ayons pas peur de la mondialisation, chacun aura son créneau… Les Chinois fabriqueront des objets courants tandis qu’avec notre avance technologique, nous ferons tourner les industries de pointe avions, TGV etc. »

    Nous savons vers quel destin cela nous conduit… Les Chinois sont au top niveau pour le TGV et il n’y a pas loin pour qu’ils nous vendent les avions pour lesquels nous leur avons cédé la technologie.

    -       Nous pourrons toujours fabriquer des cure-dents s’il nous reste quelque chose à grignoter…

    -       A condition que nous sachions encore les fabriquer.

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  • Salut Baptiste ! Et le bœuf, le cheval, le poulet, les légumes… où en sommes-nous ?

    -       Je sens que tu vas m’énerver. Tant pis je vais le dire. Car on entend de tout… Bien évidemment le cheval n’est pas du poison et il n’est pas dangereux d’en manger, mais il n’y a pas que ça dans cette affaire…

    Ceux qui mangent du cheval aimeraient bien le savoir, et quand on écrit bœuf sur l’étiquette il serait bien qu’on en trouve dans la boite, c’est une évidence.

    Ceux achètent du cheval pas cher et de le revendent au prix du bœuf sont des escrocs, et le consommateur commence à se fatiguer d’avoir à les détecter en tous lieux et dans tous les domaines. Comment avoir confiance à ceux qui vous roulent dans la viande hachée. Quand on voit la taille et la puissance de ces hachoirs-malaxeurs, on imagine que tout ce qui tombe dans le bac prend aussitôt la valeur de la viande y compris la casquette de l’opérateur si par malheur elle y glisse !

    J’entends de nombreux consommateurs dire : « moi je ne mange jamais de lasagnes vendues préparées, donc je ne risque rien », voire, j’ai envie de leur répondre : « les risques de mal bouffe ne sont pas réservés aux lasagnes ; on peut se demander : qu’y a-t-il dans les pâtés, les rillettes, les saucisses et saucissons, comment sont élevés les veaux, les poulets, les cochons etc. ? Où en sommes-nous des traitements particuliers destinés à produire plus vite et plus beau et des antibiotiques… De tout cela on ne parle plus…Pour le moment…

    -       Bon appétit quand même, mais avec tout ça quand j’achète une côtelette de porc je demande au boucher : « le cochon, quand il était encore vivant, vous le connaissiez personnellement par son prénom ? »

     

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  • Salut Baptiste ! Et la dette ? Où en sommes-nous ? Il parait que compte tenu de la situation et blablabla et blablabla nous ne pourrons pas tenir ce que nous avions dit que nous tiendrions et qu’en conséquence le déficit et blablabla et blablabla…

    -       Et voilà ! Comment faire pour rembourser une dette quand on n’a pas d’argent ?

    Il y a une solution : on ne la rembourse pas.

    -       Oups ! Ce n’est pas possible ça ?

    -       On disait aussi que ce n’est pas possible de bourrer les raviolis de cheval en écrivant sur la boite que c’est du bœuf et pourtant… On l’a fait !

    En plus il y a un précédent : l’Islande. Un jugement récent de la cour de l’Association Européenne de Libre Echange (ALE) lui a donné raison le 28 janvier dernier.

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/01/28/l-islande-avait-le-droit-de-refuser-de-rembourser-les-epargnants-etrangers_1823572_3234.html

    -

    Ci-dessus un article du journal "Le Monde", ci-dessous un député belge évoque ce sujet devant le parlement de son pays.

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