•  

    La souris s’est cachée dans les pages de l’éphéméride. Bon vikinge !

     

    http://www.lessignets.com/signetsdiane/calendrier/sept/10.htm

     

    Partager via Gmail

    3 commentaires
  • perfusion.jpg

    2011.09.09

     

    Salut Baptiste ! Et la Grèce ? Sauvée désormais grâce à l’Europe ?

    -      Ah…ah…ah… très drôle !

    -      Comment ça très drôle ?

    -      C’est de l’acharnement thérapeutique que l’on pratique sur la Grèce.

    -      D’aucuns disent qu’il faut être solidaires.

    -      Le problème est que l’Europe s’est construite à l’envers.

    -      Explique.

    -      Prenons l’exemple de la France et des régions françaises. Il ne viendrait à l’idée de personne de dire on va abandonner la Provence, ou l’Alsace, ou la Bretagne sous prétexte que telle ou telle région est moins productive que les autres ? Mais trouverait-on normal que l’une des régions de France gère elle-même son budget, prélève les impôts à sa guise, mène une politique indépendante… Non bien sûr, elle fait partie de la France et le pays forme une entité indivisible.

    Pour que l’Europe fonctionne il eut fallu instaurer un pouvoir fédéral capable de diriger et d’harmoniser l’ensemble des composantes. Ce n’est pas du tout le cas, la monnaie est commune mais les politiques sont indépendantes, donc ça ne peut pas marcher.

    -      Ce matin j’ai entendu un député interrogé par J.J. Bourdin sur RMC déclarer qu’il avait voté les quinze milliards pour la Grèce tout en sachant que ce pays ne pourrait pas rembourser.

    -      Effectivement, et ce même député s’insurgeait contre les dépenses de santé, demandait que l’on ne rembourse plus certains médicaments et souhaitait que les médecins en prescrivent moins… Il a bien raison de vouloir réaliser des économies sinon comment pourrait-on jeter les milliards par les fenêtres.

     

    Partager via Gmail

    9 commentaires
  •          

    Pour une raison inconnue, depuis le 8/09/2011 la fenêtre d’envoie des coms ne mémorise plus les nom, adresse mail et site, il faut tout retaper à chaque fois. Combien de temps cela va-t-il durer, je sais que je ne suis pas le seul…Combien sommes-nous dans ce cas ?

     

    Et depuis ce matin (09/09) il faut confirmer en recopiant le code à 3 lettres afin que le com soit expédié !

     

    Demain il faudra sans doute grimper à un arbre et faire le poirier pendant 3 minutes ?

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    10 commentaires
  • Il y a castagnettes et castagnettes !
    -
    -
    Partager via Gmail

    8 commentaires
  • 6049081392_3a67ef37f4.jpg 

    N’avez-vous jamais flâné au bord de l’eau, dans un parc arboré, ou mieux encore le long d’une rivière bordant une prairie… Enfin bref, là où la brise légère fait incliner lentement les roseaux qui se frottent les uns aux autres, en émettant un bruit doux, régulier et berceur, dont la mélodie incessante vous invite à la nonchalance voire même à la sieste ?

    Si vous parvenez, les yeux fermés, à vous remémorer ces instants de rêves, qui dessinent dans votre esprit un paysage enveloppé de délicatesse, de moelleux, de clair-obscur, tout en murmurant ce bruissement monotone et pourtant agréable, le nom de roseaujoue s’inscrira de lui-même au fronton de votre songe.

    Il s’inscrira à double titre, d’abord du fait qu’il désigne ce mouvement d’ensemble des roseaux (roseau joue ou roseaux jouent) faisant la révérence en se poussant du coude tout en se chuchotant des gentillesses, sans élever le ton pour préserver votre tranquillité… Et ensuite parce que les idées qui ont traversé votre esprit, vous Madame ou Mademoiselle en vous imaginant blottie dans ses bras, assise dans ce minuscule espace que les roseaux ont laissé au milieu de leur immense bouquet naturel, ont provoqué une légère coloration de vos pommettes. De même, pour vous Monsieur qui dans un demi sommeil avez imaginé la main légère et caressante effleurant votre cou, avez senti vos joue chaudes prendre une coloration de : rose aux joues.

    Alors roseau joue ou rose aux joues = c’est le même mot pour un moment de douceur !

     

    Pour l’arbre à mots animé par Soakette la Sardine, ROSEAUJOUE est le mot de la semaine 36 présenté par Jill-Bill.

     

    Partager via Gmail

    15 commentaires
  • cc.jpg 

    Salut Baptiste ! Et le Président Chirac comment va-t-il ?

    -      Pas bien parait-il…

    -      Il ne pourra pas aller voir le juge.

    -      On entend de tout. Il y a ceux qui veulent le juger… Ceux qui ne veulent pas… On comprend bien que tout se mélange ; il y a ceux qui l’aiment parce qu’il est beau, ceux qui l’aiment parce qu’il a fait beaucoup pour la France, ceux qui le détestent car il n’a rien fait, ceux qui pensent qu’il fallait le juger plus tôt (mais on ne pouvait pas), ceux qui pensent que comme un être suprême il ne pouvait pas se tromper… Et que donc il n'a rien à se reprocher. Ceux qui disent qu’il ne faut pas juger les vieux… Et t’essaieras… et t'essaieras…

    -      Bien sûr… Bien sûr…

    -      Tu as vu déjà quand il se déplace…

    -      Il se déplace ?

    -      Faut bien qu'il se rende au Conseil Constitutionnel. Là au moins tout le monde est content de lui  : (http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/le-conseil-constitutionnel/les-membres-du-conseil/liste-des-membres/liste-des-membres-du-conseil-constitutionnel.319.html )

     

     

    Partager via Gmail

    8 commentaires
  • 2011.09.05
     
    Salut Baptiste ! Comment vont les affaires ?
    -      Lesquelles ? La France ? Les fameux marchés c’est-à-dire les spéculateurs ? Les banquiers ? Les sans-le-sou ? les sans-abris ? Les classes moyennes ? les pauvres ?
    -      Effectivement il y a plusieurs thermomètres.
    -      Oui et certains l’ont dans le… enfin bref ! Si on lit l’histoire qui suit on a quelques éléments de réflexion sur ce qui se passe dans le monde.
    -      Tu crois que cette histoire se répète.
    -      Inlassablement sous des formes diverses et avec des acteurs différents… Certes… Mais c’est la même histoire…
     
    La crise... des ânes
    Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village. Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash - 100 euros l’unité - tous les ânes qu’on lui proposerait. Les paysans le trouvaient bien un peu étrange, mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes. Les jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants. Constatant qu’il n’en restait plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait les acheter 500 € dans huit jours et il quitta le village.
    Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu’il venait d’acheter et l’envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 € l’unité. Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 € dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois le prix qu’ils l’avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent.
    Comme il fallait s’y attendre, les deux hommes d’affaire s’en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusqu’au cou, ruinés.
    Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l’âne s’effondra. Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le banquier. Celui-ci pourtant s’en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s’il ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune.
    Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l’argent aux habitants du village pour qu’ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant. Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du surendettement.
    Voyant sa note en passe d’être dégradée et pris à la gorge par les taux d’intérêts, la commune demanda l’aide des communes voisines, mais ces dernières lui répondirent qu’elles ne pouvaient en aucun cas l’aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.
    Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses : moins d’argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale... On repoussa l’âge de départ à la retraite, on supprima des postes d’employés communaux, on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts. C’était, disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.
    Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front. On les appelle les frères Marchés.
    Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.
    Cette histoire n’est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois.
     
    (Histoire circulant sur internet d’après une fable espagnole dont l’auteur reste inconnu)
     
    Cela fait penser à ce qui se passa le 20 juin 1815 :
     
    « Le coup de Bourse » de Nathan Rothschild
     
    Au lendemain de la bataille de Waterloo, Nathan Rothschild accomplit un « coup de bourse » remarquable. Informé de la défaite napoléonienne bien avant les autorités, il se rend à la Bourse de Londres et met en vente tous ses titres. Tous pensent alors que Napoléon est sorti victorieux du combat et chacun, gagné par la panique, suit l’exemple de Rothschild. Les actions chutent à une vitesse folle. Rothschild attend la dernière minute puis les rachète et assoit ainsi la fortune familiale.
    Voir aussi : Napoléon - Dossier histoire de la bourse - Bourse de Londres - Rothschild - Histoire de la Finance
          -
    Partager via Gmail

    9 commentaires
  •  

        Et l'autre qui demandait vaut-il mieux être en avance... ou à l'heure exacte : en résumé est-il préférable d'être AVANT ? PENDANT ? OU APRES ?

    Ce à quoi quelqu'un répondit : "Mieux vaut avant, parce qu'après c'est pendant !"

     

     

        Demain la rentrée… Une montre pour rejoindre l’école à l’heure !   reveil-copie-1.jpg

     

    Clic sur le lien pour voir apparaître une montre humaine

     

    (Ensuite, un clic dans la montre change la présentation)

     

    http://lovedbdb.com/nudemenClock/index2.html

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    11 commentaires
  • Marins
    Partager via Gmail

    10 commentaires
  •  

    Salut Baptiste ! Tu as vu… Juillet a été pourri pour les vacanciers et août n’a pas été très bon partout.

     

    -      Je sais ! Mais que veux-tu que l’on fasse ? Nous avions promis le beau temps et la crise est arrivée !

     

    -      Ah ! Je vois… je vois… Elle a bon dos la CRISE.

     

    -      Toi aussi tu l’avais remarqué.

     

     

     

    Partager via Gmail

    10 commentaires