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    « La route de l'Atlantique (en norvégien : Atlanterhavsveien) est une section de la route nationale 64 (RV 64) située dans la partie nord de la zone côtière de Hustadvika. La route relie les communes de Eide et Averøy, situés dans le comté de Møre og Romsdal. La longueur totale de la section est de 8,274 kilomètres.

    Les travaux de construction ont débuté en 1983. L'inauguration a eu lieu le 7 juillet 1989. La route est construite sur plusieurs petites îles et récifs et emprunte, reliés par huit ponts, plusieurs chaussées et viaducs. Cette route a une vue sur la mer ouverte, ce qui est rare sur les routes du long de la côte norvégienne. On peut voir les fjords et les montagnes à proximité de la route. La route spectaculaire est rapidement devenue une attraction touristique, dans la mesure où des précautions doivent être affichées lors de la conduite, à cause de la fréquentation de cette route par la population locale et les visiteurs. Elle a été élue « construction norvégienne du siècle » le 27 septembre 2005 et est actuellement en Norvège la deuxième route la plus visitée après celle de Trollstigen »

    (Source : Wikipedia)

    Pour la parcourir : clic sur la route

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  • Il semblerait que G. Brassens ne l'ait pas enregistrée.
    Je n'ai trouvé que celui de Maxime Le Forestier.

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    L'orphelin

    Sauf dans le cas fréquent, hélas ! / Où ce sont de vrais dégueulasses, / On ne devrait perdre jamais / Ses père et mère, bien sûr, mais / A moins d'être un petit malin / Qui meurt avant d'être orphelin, / Ou un infortuné bâtard, / Ça vous pend au nez tôt ou tard.

    Quand se drapant dans un linceul / Ses parents le laissent tout seul, / Le petit orphelin, ma foi, / Est bien à plaindre. Toutefois, / Sans aller jusqu'à décréter / Qu'il devient un enfant gâté, / Disons que dans son affliction / Il trouve des compensations.

    D'abord au dessert aussitôt / La meilleure part du gâteau, / Et puis plus d'école, pardi / La semaine aux quatre-jeudis. / On le traite comme un pacha, / A sa place on fouette le chat, / Et le trouvant très chic en deuil, / Les filles lui font des clins d'œil.

    Il serait par trop saugrenu / D'énumérer par le menu / Les faveurs et les passe-droits / Qu'en l'occurrence on lui octroie. / Tirant même un tel bénéfice / En perdant leurs parents, des fils / Dénaturés regrettent de / N'en avoir à perdre que deux.

    Hier j'ai dit à un animal / De flic qui me voulait du mal : / Je suis orphelin, savez-vous ? / Il me répondit : je m'en fous. / J'aurais eu quarante ans de moins / Je suis sûr que par les témoins / La brute aurait été mouchée. / Mais ces lâches n'ont pas bougé.

    Aussi mon enfant si tu dois / Etre orphelin, dépêche-toi. / Tant qu'à perdre tes chers parents, / Petit, n'attends pas d'être grand : / L'orphelin d'âge canonique / Personne ne le plaint : bernique ! / Et pour tout le monde il demeure / Orphelin de la onzième heure.

    Celui qui a fait cette chanson / A voulu dire à sa façon, / Que la perte des vieux est par- / Fois perte sèche, blague à part. / Avec l'âge c'est bien normal, / Les plaies du cœur guérissent mal. / Souventes fois même, salut ! / Elles ne se referment plus.

    Paroles et Musique : Georges Brassens   1985

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    Pour accèder au programme clic sur les personnages :

    Révisions ludiques

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    Savez-vous tirer une chope de bière ?

    -       1- Cliquez sur le lien plus bas.

    -       2- Placez le verre à l'angle que vous désirez

    -       3- Cliquez pour arrêter le versement.

     http://www.1001-bieres.com/1001-bieres-tireuse.swf

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    Puis il revint comme il était parti : / Bon pied, bon œil, personne d'averti. / Aux dents, toujours la vive marguerite, / Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

    Mit sur ta lèvre, Aline, un long baiser / Mit sur la table un peu d'or étranger / Chanta, chanta deux chansons de marine / S'alla dormir dans la chambre enfantine.

    Puis il revint comme il était parti : / Bon pied, bon œil, personne d'averti. / Aux dents, toujours la vive marguerite, / Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

    Rêva tout haut d'écume et de cavale, / S'entortilla dans d'étranges rafales. / Puis au réveil, quand l'aube se devine, / Chanta, chanta deux chansons de marine.

    Puis il revint comme il était parti : / Bon pied, bon œil, personne d'averti. / Aux dents, toujours la vive marguerite, / Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

    Fit au pays son adieu saugrenu / Et s'en alla comme il était venu. / Fit au pays son adieu saugrenu / Et s'en alla comme il était venu.

    Paroles de Georges Mogin, dit Norge -  Georges Brassens   1972

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  • Clic sur le téléphone

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  • Qui gagnera la palme ?

    Salut Baptiste ! Alors… Tout baigne dans l’huile ?

    -       Drôle d’histoire cette taxation envisagée de l’huile de palme.

    -       En effet… On taxe… On taxe pas ?

    -       Ce qui est surprenant c’est de ne pas interdire un produit s’il est considéré nocif, et de se satisfaire d’une taxation. Est-ce que cela suffit pour la santé ?

    -       Comme ce qui est cher est bon - et souvent même luxueux - placer l’huile de palme au niveau de la truffe ou du caviar – soyons fou – donnerait une autre appréciation sur ce produit qui est déjà entre les mains de l’ambassadrice… Grâce aux fameux rochers !

    -       Une spectaculaire promotion avant les fêtes.

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  • Chronique de Jean-Pierre Gauffre

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