• C’est une histoire un peu ancienne, qui date de je ne sais plus quand ? Probablement de l’époque du « travailler plus pour gagner pareil »… ?

    Donc Alexandre se présente et le chef d’entreprise lui explique :

    -       Vous paraissez détenir les capacités que nous recherchons pour ce poste et je vais très certainement retenir votre candidature. Cependant, au préalable, je voudrais vous faire effectuer un essai sur la machine que vous allez piloter.

    Voilà, mettez-vous à l’aise devant l’appareil et vous allez constater immédiatement qu’au-dessus de votre main droite se trouve une poignée. Alors dès que la barre métallique passe, si vous tirez sur la poignée droite, le système aplatit la barre de fer. Allez-y... faites un essai…

    -       Effectivement, c’est très simple.

    -       Vous avez peut-être remarqué aussi, près de votre pied gauche, vous  apercevez une pédale.

    -       Vue !

    -       Eh bien, lorsque vous tirez le levier avec la main droite vous aplatissez la barre métallique, si aussitôt après vous appuyez avec le pied gauche vous sectionnez la barre.

    -       Effectivement je tire et je sectionne, je tire et je sectionne.

    (Dans la pratique si vous essayez chez vous, vous verrez que le corps exerce déjà un mouvement fort gracieux)

    -       Bien ! Vous paraissez vous adapter rapidement à votre poste et vous allez sans doute être retenu, mais vous avez certainement observé la manette qui se trouve au-dessus de votre bras gauche. Alors voilà : lorsque la barre de fer se présente vous tirez avec la main droite vous l’aplatissez, vous appuyez sur la pédale gauche vous la sectionnez et si aussitôt après vous tirez avec la main gauche vous faites un trou. Allez-y pour voir... Vous verrez c'est très simple...

    -       Main droite, pied gauche, main gauche… C'est vrai... très facile...

    -       Fort bien… La pédale qui se trouve près de votre pied droit n’est sans doute pas passée inaperçue à vos yeux je suppose. Eh bien je récapitule : lorsque la barre de fer se présente vous tirez avec la main droite vous l’aplatissez, vous appuyez sur la pédale gauche vous la sectionnez, vous tirez avec la main gauche vous faites un trou et si immédiatement vous appuyez avec le pied droit la machine pose un rivet. Allez-y pour voir...Toutes les idées sont bonnes.

    -       Main droite, pied gauche, main gauche pied droit… Fantastique.

    -       Dites-moi monsieur le directeur ?

    -       Oui… Que se passe-t-il ?

    -       Pourrais-je disposer d’un balai s’il vous plait ?

    -       Un balai… Mais pourquoi faire ?

    -       Pendant que je fais ce mouvement si je me l’introduisais dans le derrière je pourrais balayer en même temps !

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  • Aujourd'hui, comme je n'ai pas eu le temps de m'occuper du blog, je fais un copier-coller d'un texte que j'ai reçu à plusieurs reprises (c'est un signe !).
    Je pense que la conclusion est exagérée, il reste bien quelques députés qui ne sont pas comme ça !

    Début de citation :

    Fable du bénévole.

    Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux. Après sa coupe, il demanda combien il devait.

    Le coiffeur répondit : " C'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine".

    Le fleuriste s'en alla tout content. Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses.
    Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda pour payer, le coiffeur lui dit : " Je ne peux accepter d'argent, cette semaine, je fais du bénévolat". Heureux, le boulanger s'en alla tout content.
    Le lendemain, il déposa à la porte du coiffeur une douzaine de croissants, avec un mot de remerciements.
    Puis, ce fut le député de la circonscription qui se présenta. Lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit : " Mais non, cette semaine c'est gratuit , je fais mon bénévolat".
    Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.

    Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de membres du parlement attendaient pour se faire couper les cheveux gratuitement...

    Voilà la différence fondamentale entre les citoyens de ce pays et les politiciens qui nous gouvernent.

    Fin de citation.

    Dans cet esprit  j'ajoute cette citation, de Benjamin Disraeli, que je trouve assez savoureuse dans l'art de dire les choses poliment : (naturellement tout ceci n'a rien à voir avec nos gouvenants passés, actuels ou futurs)

    "Monsieur le Président, je retire ce que je viens de dire, à savoir qu'une moitié du gouvernement est composée de crétins : une moitié du gouvernement n'est donc pas composée de crétins."

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  • Propositions.

     

     

    Les cahiers de doléances que propose le député marcheur Jean Lassalle :

    http://www.ledeputequimarche.fr/blog/cahiers-de-doleances/

     

     

    ***********************************************

    Autre sujet : "Ce soir ou jamais"

    http://pluzz.francetv.fr/videos/ce_soir_ou_jamais.html

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  • Il y ceux qui bricolent par passion,

    il y a ceux qui bricolent par goût,

    il y a ceux qui bricolent par plaisir,

    et il y a les autres... Clic sur l'image :

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  • Avec l'orchestre de Berlin, Anna NETREBKO,  Placido DOMINGO et
    Rolando VILLAZON

    Clic sur la photo ci-dessous :

     

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  • Pour savoir ce qui s'est passé un 9 mai dans le monde clic sur le hamac :

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  • Je regrette de n'avoir pas fait toutes les visites hier...
    Le temps... Le temps... Le temps et rien d'autre !

    *************************************

    Salut Baptiste ? Crois-tu que « l’on » nous prenne toujours pour des truffes ?

    -       Moi j’ai un baromètre c’est le triple A.

    -       Et alors ?

    -       Ici c’est clairement expliqué non ? http://youtu.be/apfeLbduYCE

    -       Enfin... ? On se demande… ?

    -       Donc le triple A, si plus personne n’en parle c’est que tout va bien.

    -       Sans doute… Sans doute…

    -       Puisque quand on était sur le point de le perdre cela paraissait de la plus haute importance. On a démoralisé la moitié de la France uniquement en se focalisant sur la première lettre de l’alphabet.

    -       Sans doute… Sans doute…

    -       Et comme maintenant tout le monde s’en fout.

    -       Sans doute… Sans doute…

    -       Pourquoi voudrais-tu que je m’inquiétasse ?

    -       Sans doute… Sans doute…

    -       Tous les jours, et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux (http://www.methodecoue.com/ )

    -       Tant mieux… Tant mieux…

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  • Une histoire connue et déjà publiée sur le blog, mais elle me plait tant que je la remets avec plaisir.

    L'histoire des deux cailloux.

    Il y avait autrefois, dans un petit village, un fermier sans le sou qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid.
    Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché. Il dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il lui donnait sa fille en mariage.

    Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition.

    Alors le vieux prêteur vicelard suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition. Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac vide, et que la fille aurait à piocher, à l’aveuglette, un des deux cailloux au fond du sac dans les conditions suivantes :

     1/ Si elle sort le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père est effacée.
    2/ Si elle sort le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est également annulée.
    3/ Si elle refuse de tirer au sort, son père est jeté en prison.

     Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier, et le sol était jonché de cailloux. Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux. Au même instant, la jeune fille qui avait l’œil vif, remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac.

    Mais elle ne dit rien. Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de mettre la main dans le sac pour en extraire un caillou.

     Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là.

     Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille ?

     Si on analyse la situation, il y a 3 possibilités :

    1/ La fille refuse de participer au tirage au sort.
    2/ La fille sort les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux a triché.
    3/ La fille tire un caillou forcément noir, et se sacrifie en épousant le vieux pour épargner l’emprisonnement à son père.

     Prenez un moment pour réfléchir à cette situation.

     

    Eh bien voici ce que la fit la jeune fille :

    Elle mit la main dans le sac et en sortit un caillou qu’elle échappa aussitôt par terre, Une maladresse salvatrice. dans un mouvement de maladresse, sans qu’on n'ait pu le voir, et il se confondit aussitôt avec les autres cailloux qui jonchaient le sol.

     Ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille.

     « Mais qu’importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais tiré en premier ! », ajouta-t-elle aussitôt.

     Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou ne pouvait être que blanc. Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.

     La morale de cette histoire :

     Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes.

    C’est seulement que l’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.

     

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  • Tu sais, dit Xavier à Auguste, je ne sais vraiment pas comment m’y prendre. Quand je rentre chez moi en retard ou bien tard dans la nuit, je prends mille précautions. J’ai même acheté des chaussures spéciales anti-bruit, j’ouvre et je ferme les portes sans les brusquer, je les ai toutes huilées aux charnières, je me déplace lentement sans provoquer le moindre bruissement, j’ouvre la porte de la chambre et je la referme sans émettre le moindre son. Eh bien tu ne me croiras peut-être pas, aussitôt au pied du lit ma femme se réveille.C'est pour rire je présume.

    Chez moi c’est tout autre chose répond Auguste. Je fais crisser les pneus de la voiture sur le gravier, j’ouvre la porte du garage d’un grand coup de pied, je donne un coup de klaxon avant de claquer la portière. Je grimpe l’étage sans retirer mes chaussures qui claquent sur chaque marche de l’escalier, j’ouvre la porte de la chambre d’un coup sec et la claque en la refermant et aussitôt je claironne : « après la cuite que je me tiens, une petite gâterie m’aiderait bien à me reposer ! ».

    Eh bien tu ne me croiras pas… Ma femme ne se réveille pas !

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  • C'est pour rire... Enfin... je suppose.

     

     

     

     

    Ce sketch n'est pas très jeune je pense, mais je ne

    le connaissais pas. Y n'est pas de ma coin !!! Clic sur la photo :

     

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