• Le 6 septembre 2014, j'ai pris quelques photos au Minolta Dynax 5D et des vidéos, en nocturne, des grandes eaux avec l'Iphone 4S.

    Ce n'est pas du "pro" en qualité, mais ça m'occupe !

     

    J'ai dû fermer cette vidéo pour "atteinte aux droits d'auteur"

    (La musique qui accompagne les jeux d'eau...

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  • Salut Baptiste ! Les choses vont de mieux en mieux parait-il ?

    -       Ah ouiiiiiiii… La fameuse méthode Coué (http://www.methodecoue.com/methode.htm ). Elle a du bon, elle a du bon.

    -       Mais elle ne suffit pas.

    -       Bien sûr… Il faut aussi rire… et se méfier de ceux qui vous pourrissent la vie. Car, comme d’habitude, quand j’appuie sur le bouton, je vois entrer chez moi des personnages qui me racontent ce qui se passe ici, ailleurs, partout dans le monde…  Ça s’appelle la télévision… Ils savent tout ! Ce qu’il faut manger, ce qu’il faut faire pour maigrir, combien le pays est endetté, de combien le gaz va augmenter, le temps qu’il fera demain, après-demain…

    Ce qui me gêne c’est qu’ils entrent chez moi sans rien apporter, même pas la boite d’anxiolytique contenant les comprimés dont il faut avaler au moins une dose avant d’avaler la leur.

    L’autre jour je n’avais pas mon comprimé, mais je me suis rassuré moi-même, car lorsqu’il m’a annoncé que la France devait deux mille milliards d’euros, j’ai failli repeindre le mur couleur café tellement j’ai pouffé de rire. Car d’abord on ne les remboursera jamais, personne n’est capable de dire à qui on les doit, que ceux à qui on les doit veuillent bien se faire connaître, celui à qui on les doit n’en a pas vraiment besoin car il continue à nous en prêter, et certains disent même que s’il a autant d’argent à nous prêter c’est qu’on avait oublié de le lui prendre avant…

    Alors vous voyez bien que c’est drôle… Laissez tomber votre comprimé et RIEZ !

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  • Salut Baptiste ! Le centenaire de la bataille de Verdun c’est pour bientôt.

    -       La clôture de la cérémonie officielle aura lieu, en effet, le 29 mai prochain.

    -       Le concert a déjà fait grand bruit.

    -       Le maire de Verdun avait invité Black M (que je ne connais pas) à venir faire un concert, il parait que c’est un rappeur du groupe « Sexion d’Assaut » ? – Connais pas non plus – mais ce n’est pas le problème, il parait aussi que sa venue n’était pas appréciée et que le maire a annulé ce concert.

    Cela dit, j’ai bien aimé l’intervention de Natacha Polony, qui connait bien mieux que moi la génération actuelle des rappeurs, lorsque s’exprimant dans l’émission d’Europe 1 – Médiapolis -, terminait par cette phrase : « la seule chanson qui s’adapte à la situation est : la Butte Rouge »

    http://dai.ly/x780e0

    https://youtu.be/jOU9R7MdMyU

    -       Elle s’y adapte mieux, je le pense aussi.

    -       Et puis comme le précise un article de presse : le centenaire de la bataille de Verdun ce n’est pas la fête de la musique.

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  • Salut Baptiste ! Que penses-tu de KohLanta ?

    -       C’est une magnifique étude de la société avec ses joies, ses peines, ses amitiés fortes et ses coups-bas terribles, ses soutiens sincères et ses trahisons incompréhensibles. C’est la vie.

    -       Pourquoi toutes ces complications ?

    -       Parce que les concepteurs ont bâti une trame qui instille continuellement les ingrédients de nature à détruire les alliances et à favoriser l’émergence de rancœurs, de jalousies et de ressentiments. 

    -       J’ai envie de dire pourquoi tant de haine ?

    -       Si ce jeu est intéressant pour sa capacité à mettre en lumière tous les travers de la société – il suffit de constater ce qui se passe au sein d’un parti politique pour en avoir un résumé -, il ne faut pas oublier que nous sommes à la télévision et que l’objectif premier est de faire du buzz, d’attirer et de fidéliser le téléspectateur.

    -       Mais à la fin c’est le plus fort qui gagne ?

    -       Justement pas ! C’est là que le jeu est frustrant mais subtil, car si la victoire était acquise au plus fort, au fil des ans nous n’aurions que des athlètes, des musclés, des sportifs de haut niveau, dans cette émission, alors que précisément ce qui fait l’intérêt de ce jeu c’est que, non seulement il crée des rebondissements insupportables, mais en plus il permet la victoire de n’importe lequel, quelles que soient ses forces physiques.

    -       Comment ça ?

    -       Bien évidemment puisqu’il est très facile de compenser ses déficiences musculaires par des combines stratégiques, des résonnements fourbes et perfides, des infidélités etc. qui finissent par éliminer les gêneurs et s’ouvrir ainsi un possible chemin vers la victoire. 

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  • Un couple d'amis a parcouru le chemin du piémont pyrénéen (GR 78) de Carcassonne à Lourdes, en avril 2016. Il postait un communiqué journalier sur Facebook. Avec leur accord, j'ai réalisé cette vidéo en piochant parmi les photos postées quotidiennement.

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  • Salut Baptiste ! Comment trouves-tu le monde ?

    -       Merveilleux.

    -       Comme le dis Luis Armstrong : https://youtu.be/BlDgQOd3p-0 ?

    -       Le Big-Bang, l’Univers… Tout est fascinant

    -       Difficile de tout connaître sur le sujet.

    -       C’est vrai, mais tout peut se résumer et celui qui suit est intéressant même s’il est très court.

    Au théâtre de la création du monde, tout a commencé, non par les trois coups traditionnels, mais par un  seul : une fantastique explosion à laquelle on donne le nom familier de BIG BANG. C’était, il y a quinze milliards d’années, la toute première bombe thermonucléaire. La matière en fusion fut projetée à travers l’espace sidéral qu’elle éclaboussa de myriades d’étoiles. Celles-ci se regroupèrent en galaxies. Dix milliards d’années plus tard, au centre d’un tournoiement de gaz et de poussières, le soleil commença à se former au sein de cet univers. Alors qu’il s’échauffait, l’extérieur de la sphère ralentissait son mouvement et des particules de matières se télescopaient, s’agglutinaient en blocs de plus en plus gros, de plus en plus chauds.

    Ainsi seraient nées les planètes.

    Notre Terre était l’une d’entre elles. Ceci se passait il y a 4,6 milliards d’années. D’abord boule en fusion, elle se refroidit peu à peu. Une croûte se forma à sa surface. En se refroidissant, la Terre se contracta, se crevassa, cracha du feu par toutes les bouches de ses volcans. Des gaz empoisonnés l’entourèrent d’une atmosphère méphitique. Puis, de la vapeur d’eau fusa, se regroupa en nuées épaisses qui firent pleuvoir des torrents de pluies pendant des milliers d’années.

    Un jour, timidement, la vie allait apparaître, trembloter, hésiter, au sein de cette soupe primitive. Ce furent d’abord de simples bactéries, puis des algues, des coquillages. Il y a 400 millions d’années apparurent les poissons. Des pattes poussèrent à certains d’entre eux qui, devenus amphibies, furent les premiers vertébrés à sortir de l’eau. La vie alors se répandit sur terre et ce fut l’ère des reptiles qui se prolongea durant 150 millions d’années.

    Les mammifères lui succèderont et à leur tour domineront le monde.

     Tout au bout de cette vertigineuse évolution, dont les moindres étapes se comptent en million d’années, voici que nous commençons à apercevoir l’Homme. En regard de la durée d’une vie humaine, il n’est guère de différence sensible entre un million et un milliard d’années. Notre esprit peine à se mouvoir au long de l’échelle des temps géologiques et se perd dans ses tentatives d’imaginer l’inimaginable.

    Afin de donner une vision simple de l’importance relative de chacune des grandes périodes qui ont abouti à la naissance de l’Homme, on a imaginé de représenter toute l’histoire de la Terre par une seule année.

    Nous voici donc le 1er janvier : la Terre, boule de feu, commence son existence autonome. Ce n’est qu’au 15 juin que se formera l’écorce terrestre. En octobre, les mers recouvriront la Terre. Les premiers poissons apparaîtront dans la troisième semaine de novembre. Alors viendront les amphibiens et les premiers reptiles. Les mammifères feront leur apparition entre le 14 et le 15 décembre, mais leur domination ne commencera que dans les derniers jours de l’année. L’Homme naîtra dans la soirée du 31 décembre. Les 6 000 dernières années de l’humanité – celles qui correspondent aux temps historiques par opposition avec la préhistoire – se dérouleront dans les 90 dernières secondes de l’année, chaque seconde représentant la durée d’une existence humaine.

    Si l’on respecte les mêmes proportions, le big-bang initial se serait produit cinq ans avant le début de cette année-là et le soleil n’aurait commencé de briller qu’en avril de l’année précédant la naissance de la Terre.

     Au terme d’un fantastique voyage en accéléré, voici donc l’Homme.

    Qui est cette créature, seule sur terre à posséder un corps et un esprit ? Est-elle d’essence divine, chassée du Paradis et tombée sur la Terre pour y travailler, y souffrir et y mourir ? Est-elle un animal évolué qui, grâce à son cerveau et à ses mains est parvenu à dominer le monde et à l’asservir à son caprice ?

     Extrait de « Tout sur Tout » France Loisirs.

     

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  • Salut Baptiste ! On reparle de l’esclavage en ce moment.

    -       Oui et il parait que Cécile Duflot envisage deux actions : la première consistant à demander la création d’une commission pour examiner la question des réparations liées à l’esclavage, la seconde réclamant la reconnaissance du travail forcé dans les anciennes colonies comme « crime contre l’humanité ».

    -       Mazette…

    -       Commentant ces projets de l’ex-ministre ce matin sur iTélé, Christophe Barbier déclarait qu’il fallait arrêter ce style de repentance sans fin pour des faits tellement anciens… Et il ajoutait : « pourquoi ne pas demander à l’Italie de nous dédommager pour le mauvais comportement des Romains lorsqu’ils ont combattu Vercingétorix à Alésia » ?

    -       En effet, pourquoi pas ?

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  • Salut Baptiste ! Comment va l’actualité en ce moment ?

    -       Sans le 49.3 et le projet de loi «aime connerie » ou un nom comme ça ? On se demande de quoi nous parleraient les éditorialistes.
    A propos, j’aimerais que l’on réalise un sondage pour savoir quel est le pourcentage de nos concitoyens qui savent ce qu’est le 49.3 et où on met les cartouches ?

    -       Effectivement, je présume que beaucoup de titulaires d’une carte d’électeur ne connaissent pas bien son fonctionnement, ni comment il se démonte pour le nettoyer et le graisser.

    -       En tout cas, si lors de la prochaine élection présidentielle les candidats sont trop nombreux, je sors le 49.3. Il n’y a pas de raison que ce soit toujours les mêmes qui l’utilisent.

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  • Salut Baptiste ! Pourquoi tu ne fais pas comme Ursule ?

    -       Ha ? Et que fait-il ?

    -       Il achète des bidons de peinture et il peint.

    -       Des portraits ?

    -       Non des murs. Tout le monde peut le faire il suffit d’acheter la peinture chez Brico-Malin.

    -       Il pourrait aussi acheter des tubes et peindre sur un chevalet.

    -       Ah oui… Pourquoi pas ? Il suffit d’acheter des tubes.

    -       Hé t’as vu Hyppolite il écrit ?

    -       Il écrit quoi ?

    -       Bof des romans des poèmes…

    -       Et c’est difficile ?

    -       Je ne crois pas, il suffit d’acheter un dictionnaire, tous les mots sont dedans.

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  • Salut Baptiste ! Quel beau soleil aujourd’hui n’est-ce pas ?

    -       Magnifique. Une journée de printemps comme on en rêve et qui me rappelle tant de souvenirs d’enfance. Je me revois enfilant les socquettes blanches. Tiens ! On ne parle plus de socquettes me semble-t-il n’est-ce pas ? On parle de bas, de chaussettes… mais pas de socquettes… Je nous revois le long du chemin accompagné de filles (sœur, voisines, cousines…) un peu plus âgées 12 ou 15 ans tandis que j’en avais 6 ou 7, elles cueillaient des violettes et m’aidaient à les reconnaitre dans le talus. Tiens ! on ne voit plus beaucoup d’enfants cueillir les violettes n’est-ce pas ? Accaparés qu’ils sont à utiliser l’électronique, le regard baissé sur leur bidule. Nous parcourions le chemin de traverse dans le pré, d’où s’envolaient les premiers papillons des premières fleurs quelques boutons d’or ornant le sentier. Quelquefois c’était le trajet de l’église de Saint Hilaire pour assister à la messe. Tiens on ne va plus beaucoup à la messe n’est-ce pas ? Oui c’est vrai, à la messe… Pourquoi faire ? On avait déjà entendu le catéchisme où le curé nous racontait des histoires passionnantes mais invérifiables. A l’église son prêche, mêlé dans nos têtes aux leçons de morale de l’école laïque, faisait un amalgame qui construisait un art de vivre, une conduite à adopter, des principes à respecter. En plus, le rassemblement créé naturellement sur le parvis de l’église offrait l’opportunité de rencontres, d’échanges, de discussions diverses, de rigolades, avant et après l’office. Des retrouvailles généralement hebdomadaires à moins que ce ne soit l’ascension ou la pentecôte, des rencontres sans contraintes, sans préalables, sans invitations, sans protocole, en toute simplicité. Aujourd’hui on me dit que l’église va s’écrouler car la commune rurale de Durfort-Lacapelette (82390) n’a pas les moyens d’entretenir l’édifice. Certes, une église dans chaque paroisse, je pourrais citer de mémoire Saint-Paul, Saint-Hubert, Saint-Martin, Saint-Hilaire, Saint-Simplice, pour une commune de 675 habitants, alors que la fréquentation est quasiment nulle, cela fait beaucoup de frais. Ce que les spécialistes en tout genre, qui soignent les corps et les âmes, appellent le lien social en recommandant de le créer ou de l’entretenir au travers d’associations ou autres clubs de réunions et de rassemblements, existait tout naturellement par le biais de participation aux rites religieux. Même ceux qui ne croyaient pas au mystère croyaient au besoin de converser avec le voisinage.

    -       Tu regrettes le passé mon cher Baptiste ?

    -       Sans doute… Sans doute…

    -       Tout en redoutant l’avenir ?

    -       Sans doute… Sans doute… A moins que je regrette tout simplement mes petites socquettes blanches ?

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