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    J’hésite à vous souhaiter une

    "Bonne année"

     

    Je crains tellement qu’elle se transforme en une :

     

    "Bonne ânée"

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  • Salut Baptiste ! Où en sommes-nous ?

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    -      Tout est arrêté jusqu’à la visite de l’anesthésiste.

    -      Qui donc ?

    -      Eh bien, celui qui doit nous présenter « ses » vœux en nous expliquant bien qu’il n’y a pas d’autre politique, qu’il n’y a qu’une seule clé pour cette serrure et que c’est lui qui l’a en poche. Comme si le seul fait d’être élu conférait, outre la légitimité, une compétence hors du commun.

    -      Il n’est pas le seul à penser que cette ligne est la bonne, voire… la seule.

    -      Certes, ceux-là nous ont longuement expliqué les bienfaits de l’euro et de la mondialisation. Vu le résultat, intéressons-nous un tout petit peu aux autres qui ont suivi, pour quelques-uns, le même cursus, et qui en tout cas ont un niveau qui leur confère la capacité de réfléchir utilement sur la situation.

    Ci-dessous, en une phrase pour chacun d’eux, l’avis condensé de quatre intellectuels et quatre responsables politique.

     

    Jacques Sapir Professeur à l’EHESS« L’euro (…) est condamné. Les moyens évoqués pour stabiliser puis résorber les déséquilibres (…) sont aujourd’hui soit insuffisants, soit politiquement impossibles. »

     

    Emmanuel Todd Démographe, historien« Les classes dirigeantes européennes, complètement affolées, n’arrivent plus à gérer l’autodestruction de l’usine à gaz qu’elles ont construite et qu’elles appellent l’euro. »

     

    Jean-Jacques Rosa Professeur à Sciences po« Il y a une impossibilité de l’euro. On ne peut pas avoir la même monnaie (…) pour des économies qui évoluent de façon divergente et où les coûts ne sont pas semblables. »

     

    Alain Cotta Professeur à HEC« Cette monnaie est (…) condamnée (…). Pour la France, le bilan n’est pas mauvais, il est exécrable. (…) Nous allons vers des ajustements beaucoup plus impressionnants que ce à quoi on nous prépare. »

     

    Marine Le Pen Présidente du FN« Le Royaume-Uni et l’ensemble des pays européens qui ont fait le choix de conserver leur monnaie nationale profitent aujourd’hui de ce choix judicieux, le choix de la raison. »

     

    Nicolas Dupont-Aignan Président de Debout la République« L’euro, c’est comme le Médiator. (…) Il était censé consacrer l’Union. La monnaie unique n’a fait qu’exacerber les différences, les nationalismes. »

     

    Jean-Pierre Chevènement Président du Mouvement républicain et citoyen« Le citoyen n’est pas forcément capable de mesurer l’erreur qui a été commise. Mais (…) il comprend que cette affaire (…) n’est pas très catholique. »

     

    Christine Boutin Présidente du Parti chrétien-démocrate « L’euro reste la monnaie forte pour les échanges internationaux et on crée (…) une monnaie nationale (…), l’euro-franc, [pour] (…) augmenter le pouvoir d’achat. »

     

    (Source : Le Point n° 2048 – page : 60)

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    Un grand bol d’air avant de changer d’année !

     

     http://www.youtube.com/watch_popup?v=ThFCg0tBDck

     

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  • La page insérée hier étant peu lisible, je fais une nouvelle tentative pour soulager le travail des ophtalmologistes !

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    Un émir souffrant d'une grave maladie cardiaque est venu se faire opérer à Paris par un spécialiste.

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    L'opération est réussie et avant de repartir dans son pays, l'émir dit au chirurgien :

    -      Docteur, si je suis en vie c'est grâce à vous. J'aimerais vous faire un cadeau pour vous remercier.

    -      Mais je n'ai fait que mon devoir...

    -      J'insiste docteur. Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?

    -      Puisque vous y tenez vraiment, sachez que j'adore jouer au golf. Si vous m'offriez quelques clubs, je serais ravi.4203309727_8e320a12e4.jpg

    Un mois plus tard, le chirurgien reçoit un télégramme de l'émir :

         "Suis heureux de vous offrir douze clubs de golf. Stop. Désolé, mais deux d'entre eux n'ont pas de piscine".

     

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    Deux gamins discutent dans la cour de récréation :

    -      T'as demandé quoi pour Noël ? cheval.jpg

    -      Un iPhone 4S, et toi ?

    -      Un Tampax.

    -      C'est quoi ça ?

    -       Je sais pas, mais avec tu peux tout faire avec : tu peux faire du cheval, de la gym, du vélo...

     

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    C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, à la mi-janvier, le mois le plus dur pour tout le monde... Un des gamins lui demande de l'aide pour enfiler ses bottes avant de sortir en récréation. En effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, recommencé dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit : "Elles sont à l'envers, maîtresse". La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit que cela est exact, il y a eu inversion des pieds... Bref ! Nouvelle galère pour les enlever et re-belote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds. Et là… le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants : "C'est pas mes bottes". A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.

    Elle dit alors : "Bon, allez ! On les enlève", et elle se met à nouveau au boulot. Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit : "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".

    Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re-re-mettre ses bottes. L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d’y être parvenue. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande : "Où sont tes gants?". Et le gamin de répondre le plus simplement du monde : "Je les ai mis dans mes bottes."

     

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