•  
    2011.08.26
     
    Salut Baptiste ! Bientôt la rentrée scolaire.
    -      Oui… Il faut commencer à faire chauffer la cafetière…
    -      Ah bon… Et comment fais-tu ?
    -      Tiens entraîne-toi, et comme disait Toto à sa maîtresse, (laquelle lui reprochait d’avoir fait beaucoup de fautes) « à quoi ça servirait que l’on fasse des dictées si on ne faisait jamais de fautes ».
     
    Les poules du couvent couvent.
    Mes fils ont sectionné mes fils.
    Il est de l'Est.
    Cet homme est fier; Peut-on s'y fier ?
    Nous éditions de belles éditions.
    Je suis content qu'ils nous content cette histoire.
    Il convient qu'ils convient leurs amis.
    Ils ont un caractère violent et ils violent leurs promesses.
    Ces dames se parent de fleurs pour leurs parents.
    Ils expédient leurs lettres; c'est un bon expédient.
    Nos intentions c'est que nous intentions un procès.
    Ils négligent leur devoir; moi, je suis moins négligent.
    Nous objections beaucoup de choses à vos objections.
    Ils résident à Paris chez le résident d'une ambassade étrangère.
    Ces cuisiniers excellent à composer cet excellent plat.
    Les poissons affluent d'un affluent de la rivière.
      
    -
     
    Partager via Gmail

    12 commentaires
  • 2011.08.25

    Salut Baptiste ! On parle beaucoup d’argent au gouvernement en ce moment ?

    -      Il en faut… Bien que certains n’en aient pas besoin tel le Baron.

    -      Quel est cette allusion ? 3052200844_602792e769.jpg

    -      Oh… c’est une vieille histoire bien connue et très explicite que je vais te raconter une nouvelle fois.

    Madame convoque les chefs d’entreprises sur son chantier et fait un rapide résumé du projet qui lui tient à cœur.

    En premier lieu elle s’adresse à l’entrepreneur en terrassement :

    -      Voyez-vous sur le front de mer, et sur environ 2 km je voudrais que vous remplaciez les galets par du sable blanc.

    -      Mais Madame, rendez-vous compte, cela va coûter horriblement cher. Il faut que j’affrète 200 camions, qui iront charger le sable où vous savez pour le livrer où vous dites…

    -      Ecoutez… ça coûtera ce que ça coûtera mais le Baron arrive dans quinze jours et je veux une grande plage de sable blanc.

    -      Bien Madame.

    Elle s’adresse ensuite au paysagiste :

    §  Là-bas voyez-vous je voudrais une sorte de bosquet verdoyant, avec des essences diverses, et un sentier de promenade … Enfin vous comprenez n’est-ce pas ?

    §  Mais Madame cela va coûter une somme inimaginable… Vous réalisez tout ce que je dois mettre en œuvre pour planter un bosquet en quinze jours… C’est colossal…

    §  Ecoutez cher monsieur… ça coûtera ce que ça coûtera, mais le Baron arrive dans quinze jours et je veux ce bosquet qui lui cachera l’horizon vers l’Est, car le paysage est moins agréable à regarder.

    Elle s’adresse ensuite au pisciniste :

    v Voilà, je voudrais ici devant la terrasse une piscine à vagues de 200 mètres sur 60 mètres, un grand toboggan, et sur le côté il faudra construire un hammam et un sauna.

    v Madame c’est impossible de faire tout cela en quinze jours sans mettre en marche un nombre considérable d’entreprises et tout cela va coûter incroyablement cher !

    v Monsieur ! Le Baron arrive dans quinze jours ça coûtera ce que ça coûtera, je veux qu’il dispose de cette piscine dès son arrivée.

    Quinze jours plus tard le Baron arrive, il reçoit un de ses meilleurs amis auquel il offre un verre, qu’ils vont déguster en s’allongeant sur les transats de la terrasse, et là il lui confie :

    -      Tu vois cher ami, quand tu es comme cela assis sur cette terrasse face à la plage de sable blanc, avec ce magnifique bosquet que l’on aperçoit vers l’Est, avec cette piscine à vagues à nos pieds… Eh bien je vais te dire : l’argent n’a pas d’importance !

     

    Partager via Gmail

    13 commentaires
  • francesoir.png

    2011.08.24

     

    Salut Baptiste ! Alors quelles sont les nouvelles…

    -      Bof ! Que dire de plus…

    -      Ah bon seulement ?

    -      Je n’ai rien de bien frais… Tout le monde le sait déjà sans doute… Mais quel acteur ! Je ne saurais pas faire ça…

    -      Mais faire quoi ? Et qui ?

    -      Bè Depardieu… pardi !  Il monte dans l’avion et il soulage sa vessie devant tout le monde dans la cabine… C’est drôle non ? Mais c’est déjà dépassé…

     

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110817.AFP3091/pris-d-une-envie-pressante-depardieu-urine-dans-la-cabine-d-un-avion.html

     

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/17/97001-20110817FILWWW00263-gerard-depardieu-urine-dans-un-avion.php

     

    Partager via Gmail

    10 commentaires
  • 2011.08.23

     

    Salut Baptiste ! Que fais-tu quand tu ne fais rien ?

    -       ???auto.jpg

    -      On ne te voit plus veux-je dire.

    -      Forcément j’étais sous la voiture… Tu vois bien la différence ?

    -      Oups… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii

    -      En plus, quand j’ai appris que chaque bébé naissant en France doit rembourser une dette de 26 000 euros, cela m’a incité à rester un peu plus longtemps caché sous la caisse… Et finalement on peut penser que la société a bien de la chance que les bébés ne sachent rien de tout cela avant leur naissance, sinon comment ne pas imaginer que nombre d’entre eux refuseraient de voir le jour !

    Photo Wikipédia.

     

    Partager via Gmail

    11 commentaires
  • Partager via Gmail

    6 commentaires
  •  

    Les travaux sont en cours...

    Transports 1583-

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Salut Baptiste ! Connais-tu la fable-express ?

    -      Tout le monde connait la fable express, qui est une fable humoristique se réduisant souvent à une ou deux phrases et dont la moralité repose sur un jeu de mots.

     pot.jpg

    Exemple :

    -      Un jeune enfant, sur son pot, s’efforçait.

    Moralité :

    Le petit poussait

    (Alphonse Allais)

     

    -      Brutus, Gaulois des plus sévères

    Etait père de vingt garçons ;

    Il fouettait leur petit derrière

    Quand ils ne savaient pas leur leçon.

    Moralité :

    Malheur aux vaincus.

    (Anonyme)

     

    Lorsque tu vois un chat de sa patte légère

    Laver son nez rosé, lisser son poil si fin,

    Bien fraternellement embrasse ce félin.

    Moralité :

    S’il se nettoie, c’est donc ton frère.

    (Alphonse Allais)

     

    Dans Aire-sur-la-Lys, il advint une fois

    Qu’un voyageur manquât son train.

    C’est une affaire

    Qui n’a rien d’extraordinaire.

    Il s’était attardé : tant pis pour lui ma foi !

    Moralité :

    Si tu ne vas pas à la gare d’Aire

    La gare d’Aire n’ira pas à toi.

    (Alphonse Allais)

     

    Partager via Gmail

    10 commentaires
  • genie.jpg

    2011.08.11

     Salut Baptiste ! Tu as l’air… ailleurs….

    -      Je suis tellement préoccupé par ceux que les journalistes appellent les marchés, que je n’ai plus d’inspiration. Les marchés font ceci, les marchés font cela.

    Un peu comme si vous disiez, la voiture ne veut plus rentrer au garage, la voiture est capricieuse, la voiture n’accepte plus d’embarquer cinq personnes etc.

    -      C’est long comme lacune !

    -      Du coup je pense aux épitaphes.

    -      Pour enterrer les marchés.

    -      Faudra voir…

     

    Epitaphes :

    Paul Léautaud (1872 – 1956), qui signait ses terribles critiques théâtrales du pseudonyme de Maurice Boissard, écrivit ainsi pour la dernière fois :

    Ci-gît Paul Léautaud

    Plus connu, Maurice Boissard.

    Quand on l’enterra : « C’est bien tôt »,

    Dirent quelques-uns, mais à part,

    Beaucoup pensèrent : « C’est bien tard ! »

     

    Une épitaphe qui fût proposée pour Richelieu :

    Ci-gît un fameux Cardinal

    Qui fit plus de mal que de bien

    Le bien qu’il fît, il le fit mal

    Le mal qu’il fit, il le fit bien.

     

    Et pour terminer, encore une blague :

    Un type est en train de marcher le  long de l'Adour à Bayonne et il trébuche sur une vieille  lampe. Il la ramasse, la frotte et un génie  en sort.

    Le génie, lui dit :

    - Tu peux être content : je t'accorde un vœu !’

    Le type s'assoit et pense  longuement... Au bout d'un moment, il se décide et demande :

    - J'ai  toujours rêvé d'un voyage à Tahiti, malheureusement j'ai peur de l'avion et j'ai le mal de mer. Pouvez-vous me construire un pont jusqu'à Tahiti, pour que je puisse m'y rendre en  voiture ?

    Le génie ne dit rien pendant  quelques secondes, puis éclate de rire :

    - C'est impossible ! Pense à ce qu'il faut utiliser pour soutenir un tel pont, pense au béton qu'il faudra faire couler, aux tonnes d'acier... Je suis un génie, OK, mais je ne  peux pas faire de miracle... Il faut tout de même rester dans le domaine  du raisonnable !

    Non, demande-moi autre chose, c'est  trop compliqué !

    Le type se remet à réfléchir. Au bout de quelques minutes il trouve autre chose :

    - J'ai été marié et j'ai divorcé quatre fois. Mes femmes m'ont toujours dit que je  ne m'intéressais pas à elles et que j'étais insensible. Alors, ce que je voudrais, c'est...comprendre les femmes. Savoir ce qu'elles ressentent, et ce qu'elles pensent lorsqu'elles sont silencieuses... Savoir pourquoi elles pleurent, ce qu'elles veulent vraiment dire lorsqu'elles disent  non... Pouvoir les rendre heureuses... Bref, comprendre leur  psychologie.

    Le génie le regarde, puis demande :

    - Le pont, tu le veux avec 2 ou 4 voies ?

     

    Partager via Gmail

    11 commentaires
  • Aujourd'hui... j'ai pris du retard... histoire de prendre quelque chose...
    Je vous propose du "tout fait", un sketch que quelques-uns connaissent,
    cependant, il est si drôle qu'il me fait toujours rire.
    -
     
    Partager via Gmail

    9 commentaires
  • Le courrier réponse à la lettre de son éventuel  futur employeur est une belle trouvaille dans son argumentation.
    -
    Partager via Gmail

    4 commentaires