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    L’expression « mot d’elle » date de l’époque où les troubadours allaient conter fleurette aux bergères. Et là, devant les moutons, au milieu d’un près couvert de pâquerettes et de boutons d’or, bien loin des pollutions en tous genres… (Portables, ordinateurs, fumées, pesticides, bons à rien, mal élevés, bagnoles, politiciens, fainéants, stakhanovistes. Etc. etc.) ils faisaient la cour à la jeune fille et ils ne s’arrêtaient que lorsqu’ils avaient entendu un « mot d’elle ».

    Et par tradition, le mot d’elle était un mot gentil, plein d’amour et de tendresse.

    Et puis, les choses étant ce qu’elles sont… Les troubadours étant devenus « lourdingues » les pâquerettes plus tristounettes, l’air pur plus opaque… etc. le mot attendu est devenu un « gros mot ».

    C’est depuis ce moment que le « mot d’elle » a disparu, laissant la place « aux noms d’oiseaux »

     

     

    Le mot à définir ou à illustrer pour l’arbre à mots animé par Soakette la Sardine pendant la semaine 51 est « mot d’elle » présenté par Nanard.

     

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  • La Fontaine disait : "Il se faut entraider, c'est la loi de nature"...

     

    Un homme - genre la cinquantaine, plutôt petit, choucroute sur la tête et lunettes de soleil à la Alain Delon - arrive chez Cartier, Place Vendôme à Paris, en compagnie d'une jeune femme splendide, et ensemble, ils choisissent un bijou de 75 000 euros.

    Au moment de payer, l'homme sort son chéquier et rédige le paiement sans sourciller.

    Le vendeur, parait un peu ennuyé car c'est la première fois qu'il voit ce couple à la bijouterie. L'acheteur s'aperçoit de la gêne que manifeste le vendeur et, avec beaucoup d'aplomb, lui dit :

    -       J'ai le sentiment, très cher, que vous craignez un chèque sans provision, n'est-ce pas ?... bague_054.gif

    -       Heu... Et bien...

    -       Bien ! Voici ce que nous allons faire : vu qu'aujourd'hui c'est samedi et que ma banque est fermée, je vous propose que vous gardiez ce chèque ainsi que le bijou. Dès lundi, procédez à son encaissement et lorsque le paiement sera honoré, faites livrer le bijou chez Mademoiselle. D'accord ?

     

    Le vendeur, rassuré, donne son aval à cette solution sans l'ombre d'une hésitation, assurant même, que la bijouterie prendrait à sa charge la livraison du bijou et qu'il s'assurerait en personne du bon déroulement de l'opération.

    Le lundi matin, après vérification à la banque, il se rend compte que c'est bien un chèque en bois !

    Furieux, le vendeur appelle aussitôt le client malhonnête, lui fait part de son mécontentement, et le client lui répond aussitôt :

    -       Mais ce n'est pas grave cher ami ! Cela ne vous a rien coûté et moi, j'ai passé une excellente soirée en compagnie d’une ex-mannequin ! D'ailleurs je tenais à vous remercier pour votre collaboration !

     

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    Clic sur le lien ci-dessous, ensuite clic sur le rouge-gorge.

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    http://www.jacquielawson.com/preview.asp?cont=1&hdn=0&pv=3291502&path=98301

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    Salut Baptiste ! En connais-tu une bonne ?

    -      Tiens, Mabille avant-hier soir racontait chez Drucker : « On a réalisé un sondage auprès des femmes, la question était de savoir si elles avaient envie de coucher avec DSK. or.2

    Eh bien 10% ont dit « oui », 20 % on dit « non », et 70% ont répondu « plus jamais ! »

    -      Merde alors !

    -      Merde à l’or ?

    -      Oui... tiens... quelqu’un a déclaré samedi matin, dans l’émission de Dominique Souchier, sur Europe1,  « dites merde à l’or ! Car à quoi sert-il de dépenser de l’argent pour aller creuser le sol afin de déterrer un métal, que l’on s’empresse d’aller enterrer dans un coffre ? »

    -      Merci et Noyeux Joël !

     

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    Bien sûr, c'est un peu pénible de s'informer,
    c'est pourtant le seul moyen de savoir où est l'arnaque !
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    Faut-il dire toute la vérité ?
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  • Neuvième extrait de l’interview d’Emmanuel Todd à l’hebdomadaire Le Point (*)

    (pour mémoire : lien de l’extrait précédent)

     todd

    Le Point : Oui, mais, pour les « otages », petits épargnants français, retraités américains, ce défaut négocié ressemblerait fort à une spoliation assumée.

     

    Mais ce sont les prêteurs qui nous spolient ! Pourquoi laisserait-on les prédateurs engloutir ce qui reste du patrimoine national ? Quant aux otages, les petits épargnants, en France, c’est pour les protéger que la nationalisation des banques est indispensable. Et cessons de pleurnicher sur le petit retraité américain, l’Amérique vit à crédit sur le dos du monde depuis des années. Et ce ne sont pas de petits retraités qui détiennent les deux tiers de la dette publique française. De plus, un défaut sur la dette de la France entraînerait des défauts en cascade des autres nations. Dans cette redistribution générale, les défauts s’annuleraient pour l’essentiel les uns les autres. Quelques nations seraient perdantes. A l’arrivée, je vous garantis que les plus coupables – nations ou individus – seront le plus sévèrement punis.

     

    On peut comprendre que nos dirigeants aient la trouille, non ?

     

    Plus le naufrage idéologique et intellectuel de la société est évident, plus les gens d’en haut s’enivrent de leur discours de domination, plus ils exigent la mise en vente des biens publics et la baisse des salaires. Et le pouvoir se réfugie dans une sorte de déni munichois : non contents d’avoir mis en place un système stupide, des gens supposés être modérés et compétents nous laissent en état d’impréparation pour gérer son effondrement. Ne nous laissons pas intimider, une société développée, dotée d’un haut niveau éducatif et technologique, est parfaitement capable de s’adapter après un effondrement systémique de cet ordre. Nous traverserons une année très difficile, mais très vite la libération des énergies et des ressources permettra un nouvel avenir. La délégitimation d’élites médiocres et corrompues sera une nouvelle jeunesse pour notre pays, un coup de balai moins douloureux que celui de 1940, un coup de balai sans la Wehrmacht !

     

    (*) Le démographe, anthropologue, historien, politologue, Emmanuel Todd, a donné une interview au Point en une douzaine de questions.

    Ci-dessus le neuvième et dernier extrait.

    (Le Point du 1er décembre n° 2046 – page 66)

     

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    "La vie ne fait pas de cadeaux"
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  • Huitième extrait de l’interview d’Emmanuel Todd à l’hebdomadaire Le Point (*)

    (pour mémoire : lien de l’extrait précédent) todd

     

    Le Point : Mais que faire si les Allemands sont réfractaires à toute négociation sur la capacité d’intervention de la BCE ? Devrons-nous mourir pour l’euro ?

     

    Emmanuel Todd : N’exagérons pas ! S’il est angoissant de voir l’Allemagne mettre à genoux ses partenaires tout en s’enivrant de l’admiration que lui vouent les droites européennes, il ne s’agit pas de tomber dans la psychose. Souvenez-vous que les Allemands ne voulaient pas entendre parler de l’euro et qu’ils n’ont cessé, après sa création, de menacer de sortir de la zone euro. Aujourd’hui, le gouvernement et le patronat ont compris que la fin de l’euro mettrait l’Allemagne au tapis, puisqu’elle seule serait dans l’impossibilité de dévaluer. En réalité, les Allemands sont plus souples qu’on ne l’imagine. Mais ils ne comprennent que la négociation franche et brutale.

     

    Au fait, pourquoi tenez-vous tant à l’euro ?

     

    Je ne tiens pas particulièrement à l’euro. Je dis qu’en régime de libre-échange l’euro est condamné. Je ne prédis pas l’avenir ici, je décris le présent. De toute façon l’enjeu immédiat n’est pas l’euro mais la crise de la dette. Soyons clair : les dettes souveraines ne seront jamais remboursées. Même les emprunts allemands commencent à être suspects. Nous avons deux possibilités : la planche à billets et le défaut sur la dette, qui serait selon moi préférable, ayant la netteté d’une opération chirurgicale. Le défaut sur la dette marquera le début de la reconquête de l’Etat par l’idéal démocratique, un Etat aujourd’hui pillé et rançonné par l’oligarchie financière.

     

    …/…

    (A suivre – demain dernier extrait)

     

    (*) Le démographe, anthropologue, historien, politologue, Emmanuel Todd, a donné une interview au Point en une douzaine de questions.

    Ci-dessus le huitième extrait.

    (Le Point du 1er décembre n° 2046 – page 66)

     

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    Accepter la dure réalité !
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